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Textes et idées





Sur cette page, je présente mes idées sur divers sujets, non pas seulement sur le gang stalking et les individus ciblés, même si ces derniers sujets peuvent aussi être abordés.

Je le fais parce que je suis ciblé à cause de mes idées politiques et artistiques. Mon site est donc un endroit où je peux exprimer ces idées sans qu'elles soient déformées par ceux qui me surveillent. Pour ceux qui visitent mon site, ça donne aussi un aperçu de quel genre d'individu je suis.

J'ai l'intention d'écrire sur plusieurs sujets assez variés. Ce sera fait sous la forme de textes, de simples pensées, ou d'une énumération de mes idées. Ces idées correspondent à ce que je pense réellement sans être contraint par les limites du système idéologique dominant.

Toutes les idées exprimées de façon sommaire pourront éventuellement être développées davantage. Cette page se développera avec le temps.



Table des matières :


Aperçu de mes idées

Art :

  -L'art contemporain

  -Le Refus global

        Indications démontrant que Borduas était un proche des classes dirigentes

        Borduas et la décomposition

        À propos d'un texte de Patricia Smart

        Cent cibles : un ouvrage faisant indirectement référence aux individus ciblés

        L'individualisme

  -Musique populaire

        Anti

À propos du mimétisme

  -Quelques éléments de preuve concernant le mimétisme que j'ai subi de la part de personnalités publiques et d'agents sur Internet

Le dispositif

Les figures idéologiques

La dynamique des médias, des partis politiques et des intellectuels polémistes

Ce que je connais de la franc-maçonnerie




Aperçu de mes idées


(J'enlève parfois certaines idées que j'avais placées dans cette liste, ce qui ne veut pas absolument dire que je les rejettes. Je peux tout simplement vouloir les reformuler plus tard ou je préfère ne pas les placer ici pour l'instant à cause de ma situation d'individu ciblé.)


● Démantèlement du système de surveillance technologique. La surveillance nécessaire au fonctionnement d'une société se fait physiquement, à l'extérieur du domicile des individus.

● Protection rigoureuse de la vie privée.

● Réforme de l'éducation axée sur la culture occidentale de l'Antiquité jusqu'à environ 1800 ou 1850 sans orienter les connaissances en fonction des enjeux idéologiques liés à la culture contemporaine, et ce, dans toutes les disciplines et accessible à toutes les classes sociales.

● Retour à la hiérarchie des genres de l'ancienne Académie, dans une version moderne. Réorganiser le système des beaux-arts (en faire plutôt un système des Beaux-Arts, avec les majuscules). Prendre les moyens pour que les niveaux inférieurs de la hiérarchie ne prennent pas le dessus. J'inclus aussi personnellement la culture populaire dans cette hiérarchie; elle se trouve cependant évidement aux niveaux inférieures. Ce qui est désigné par « art contemporain » et « art actuel » n'est pas promu par l'État se retrouve aussi aux niveaux inférieurs de la hiérarchie. Ces œuvres ne sont pas égales ni supérieures aux œuvres marquantes produites par l'Homme jusqu'au début du 19e siècle. Dans cette hiérarchie, les technologies électroniques sont perçues comme étant vulgaires et dangereuses. Le travail artistique fait à la main et les instruments de musique acoustiques sont considérés comme étant de nature supérieure. Bien entendu, le système de surveillance et de vol doit être démenteler afin de permettre aux artistes des niveaux inférieurs d'évoluer. Un artiste peu très bien évoluer à ce niveau s'il le désire, mais ce qu'il fait ne prendra pas le dessus. Les artistes doivent pouvoir fonctionner normalement, et ce, à tous les niveaux de la hiérarchie. Cette réforme de la culture doit être accessible à toutes les classes sociales.

● En lien avec l'idée précédente, dénoncer ceux qui placent dans le haut de la hiérarchie de la culture occidentale des cultures censées se retrouver à des niveaux inférieures. Par exemple, au Québec, ceux qui placent la culture de la cabane à sucre au même niveau ou même au-dessus d'une culture académique qui serait issue de nos origines française et européennes d'autrefois. Cela concerne tous les individus sur le plan régional qui sont en fait des agents d'opposition contrôlée travaillant pour les mondialistes et les technocrates. Ces agents ciblent et attaquent les activistes, les militants et les et autres intervenants locaux.

● Dénoncer la propagande liée à la mondialisation ainsi que l'imitation déformée des activistes locaux dans les médias par des personnalités et des individus de toutes sortes (vedettes pop, personnalités sportives, journalistes, politiciens, artistes, cinéastes, écrivains, faux manifestants, blogueurs, youtubers, appelants sur des tribunes téléphoniques, etc.) Autrement dit, dénoncer les tactiques d'opposition contrôlée qui nous empêchent de faire valoir nos idées socialement.

● Réforme et légifération en matière de musique populaire, notamment en ce qui concerne les pressions dont le but est de modifier les mœurs et le système de valeur de la population civile, notamment en ciblant les jeunes.

● Combattre les « démocraties » technocrates et fascisantes. Je préfère personnellement remplacer le mot « démocratie » par la phrase suivante : donner l'accès à toutes les classes sociales.

● Envisager la réduction de la population mondiale. Mettre fin à l'immigration calculée et programmée aux fins de l'idéologie totalitaire des mondialistes fossoyeurs de cultures.

● Ne pas faire pression pour croiser les individus de races différentes. Favoriser le respect des races.

● J'aime la culture européenne d'autrefois ainsi que mes racines françaises. Je suis aussi nationaliste, mais avec des références culturelles plus européennes, tout en aimant les diverses régions du Québec (ce qui inclut la ville). Cependant, je n'appuie pas les représentants nationalistes, autonomistes ou indépendantistes que nous voyons dans les divers médias, qu'ils soient politiciens, journalistes, intellectuels ou artistes. Je suis imité et ciblé par les représentants de tous ces courants, ainsi que par des harceleurs en réseau dans les milieux de travail et partout ailleurs. Ce sont des agents travaillant pour les classes dirigentes mondialistes anglophones, même quand ils semblent se battre pour leurs convictions. Ils surveillent les gens comme moi et adoptent toutes sortes de stratégies afin de manipuler et de tout neutraliser.

Je suis plus ouvert qu'auparavant à l'idée d'indépendance du Québec. Si j’appuyais l'indépendance, ce serait pour un pays complètement indépendant.

Je prône le respect des nations et de leur culture.

● Le français comme langue officielle partout au Québec. Cela ne veut pas dire que les gens ne peuvent pas utiliser une autre langue pour communiquer avec les autres. Les autres nations ont le droit à leur langue aussi. Le gens peuvent aussi apprendre d'autres langues pour se cultiver.

● Respect et protection de la langue française. Réforme de la langue française au Québec, dans toutes les classes sociales, ce qui ne veut pas dire que tout le monde parlera exactement de la même façon partout. Il y a des niveaux de langage. Le joual ne doit pas être promu par les autorités, notamment dans les médias ou dans le système d'éducation. Aussi, sur le plan local ou de façon plus sous-terraine, les gens, dont les artistes, peuvent varier les niveaux de langage sans toutefois remettre en question l'existence de ces niveaux de langage. Il y a une hiérarchie du langage et le bas ne remplace pas le haut. Les mondialistes américanisés prônent un langage qui tire vers le bas.

Tout cela ne se fera pas du jours au lendemain. Une réforme doit être élaborée.

● Évoluer en marge des groupes occultes régissant nos sociétés. Bien identifier ces groupes afin de les éliminer.

● Mettre l'accent sur les études avancées chez les hommes (bien entendu, je ne parle pas de trous d'cul, de délinquants et d'individus vulgaires), dans toutes les disciplines et particulièrement dans les milieux qui, historiquement, étaient masculins.

● Ne pas augmenter le salaire minimum de façon excessive (et en utilisant des individus ciblés) afin de créer un égalitarisme abusif et de favoriser le prolétarisme culturel. Se pencher sur la question des écarts salariaux entre le secteur publique et le secteur privé, tout en favorisant les échelles salariales. Envisager des coupures salariales dans certains secteurs du système publique.

● Combattre et mettre au jour l'hypocrisie en ce qui concerne le harcèlement des employés dans leur milieu de travail, à domicile et lors des recherches d'emplois (harcèlement en réseau, surveillance). Même chose dans le système d'éducation. Développer et donner l'accès à des recours autre que les syndicats. Je suis antisyndicaliste.

● Favoriser les petits commerçants locaux plutôt que les grosses chaines américaines et américanisées.

● Mettre fin à la domination des femmes dans le milieu de l'Art et dans plusieurs domaines liés à la culture et à l'éducation, ainsi que dans plusieurs autres secteurs.

● Mettre fin à la mixité dans les écoles et réorganiser la mixité dans les milieux de travail. Ce raisonnement se fait en dehors des limites de l'idéologie égalitariste telle qu'elle se présente actuellement.

● Code vestimentaire dans les établissements d'enseignement et les milieux de travail. Pas de prolétarisme vestimentaire, et ce, pour toutes les classes sociales, sauf pour les gens pour qui c'est réellement nécessaire. Cela ne veut pas dire que tout le monde est habillé de la même façon. Cela inclut évidemment l'hypersexualisation.

● Interdiction des tatouages et du piercing dans les milieux de travail et dans les établissements d'enseignement, ainsi que de leur promotion par la culture pop et les médias. Mesure à prendre : fermeture des établissements qui les publicisent et les commercialisent, ce qui est accompagné d'une promotion dans les médias.

● Identification des délinquant(es), le tout accompagné de mesures appropriées. Dénoncer la culture qui consiste à donner une déformation délinquantes à tout ce qui se fait, une culture de voyoux, ce qui est courant dans les médias de masse et dans le milieu du divertissement.

● Prendre de front le problème des médias. Bien entendu, ça doit être fait honnêtement et intelligemment.

● Dénoncer la façon dont les maladies mentales sont définies et véhiculées par les médias (de connivence avec le système médical) dans le but de discréditer les dissidents politique.

● Dénoncer le psychologisme.

● Éduquer les gens à la politesse et à la bienséance. Les sortir de la vulgarité.

● Interdire le sport professionnel et l'idéologie liée aux amphithéâtres modernes.

● Mettre fin à la propagande « progressiste » de nature sexuelle.

● Dénoncer le mariage gay, l'union civile entre personne de même sexe, la promotion de la culture gay et des individus transgenres, cette promotion visant principalement à détruire les cultures traditionnelles et les rapports hommes/femmes.

● Interdiction de la pornographie, de la pornographie soft et de son équivalent en culture pop. Arrêter de donner les meilleures chansons à celles qui jouent à ce jeu, ce qui ne veut pas dire de faire de la discrimination « positive » afin de favoriser les attaques contre la Beauté. Une femme à le droit d'être belle sans se retrouver face à une situation où le concept de beauté est manipulé de façon idéologique et égalitariste. Dans certain cas, en art, choisir une femme pour sa beauté n'est pas de la discrimination. La forme de Beauté la plus élevée chez une femme est la Beauté du corps liée à la Beauté de l'âme. De plus, ça ne veut pas dire que le nu et un certain érotisme en art doivent être interdits.

● Prostitution : arrêter autant le ou la prostitué(e) que le client, avec un traitement juridique égal. Mettre fin à la législation ambiguë et à la publicité des services, même sur Internet.

● Interdiction de la vente de toutes les drogues et réévaluer la légalité de la vente d'alcool à grande échelle. Combattre la culture liée à ces modes de vie.

● Dénoncer l'acharnement athéiste.

● Respecter le célibat et valoriser l'abstinence sexuelle.

● Protéger le droit des gens de manger de la viande. Je dis ça parce que, depuis que je suis ciblé, on se sert de moi pour essayer de rendre les gens végétariens ou végétaliens parce que moi je le suis. Ce n'est pas tout le monde qui est obligé de l'être. On a personnellement fait pression sur moi par le biais du harcèlement médiatique pour que je devienne végétalien, alors que je ne le suis pas réellement. Je le suis devenu pour que le harcèlement cesse et, maintenant, je n'ai plus vraiment envie de changer, dans un sens comme dans l'autre, pour les mêmes raisons. J'étais auparavant végétarien en mangeant un peu de poisson et des oeufs. Tout ce que je mange est surveillé, même à domicile. Les milieux de travail font aussi indirectement pression sur moi pour changer ma nutrition.

● Ne pas chercher à empêcher les autres de se défendre, ce qui est en lien avec les raisonnements sur l'agressivité (je ne parle pas des voyoux et des délinquants standarts). Bien entendu, nous comprenons que l'agressivité n'est pas la seule façon de se défendre, mais la façon de se défendre ne doit pas être liée à la compromission idéologique.

● Éduquer à apprécier le silence, mettre fin au papotage et aux conversations incessantes, surtout quand le sujet de conversation est stupide. Bien entendu, ça ne veut pas dire que les gens ne parlent jamais.


Je crois que les élites des 16e, 17e et 18e siècles avaient une psychologie supérieure à celle des « élites » des 20e et 21e siècles, même s'ils avaient moins de connaissances. Je ne crois pas en la notion de « progrès » telle qu'elle est avancée par les « élites » d'aujourd'hui. Je crois que tout ça est en lien avec leur utilisation idéologique de l'argument du jugement de valeur dont ils se servent à des fins négativement égalitaristes.


Toutes ces idées sont très généralement représentatives de ma façon de penser. Certaines pourraient être modifiées quelque peu, mais, pour la plupart d'entre elles, il ne devrait pas y avoir de changements majeurs, car elles sont au fondement de ce que je pense depuis très longtemps. D'autres idées pourraient encore être ajoutées à cette liste.



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Art


En art, je suis quelqu'un qui a une préférence marquée pour l'art occidental d'autrefois et j'ai une pensée qui se rapproche de celle de la pensée académique ancienne et de la hiérarchie des genres. Je développerai davantage à ce sujet, car je crois aussi que les artistes ont le droit d'avoir une certaine liberté, ce sur quoi je m'expliquerai. Je traiterai aussi probablement un peu de musique populaire.







Raphaël,
L'École d'Athènes,
Entre 1510-11,
Fresque,
770 x 440 cm,
Stanza della Segnatura, Vatican, Rome,
Image par Mark Harden



Laocoon et ses fils,
175-150 av. J.-C.,
Marbre,
242 cm de hauteur,
Museo Pio Clementino, Vatican,
Image par Mark Harden



Masaccio,
La Trinité,
1427-28,
Fresque,
6.67 x 3.17 m,
Santa Maria Novella, Florence,
Image par Mark Harden



Botticelli, Sandro,
Le printemps,
1478-1482,
Huile sur toile,
203 × 314 cm,
Galerie des Offices, Florence,
Image par Le Gallerie degli Offizi



Bellini, Giovanni,
L'extase de saint François,
1480,
Huile sur bois,
124,4 × 141 cm,
Frick Collection, New York,
Image par Mark Harden



Bellini, Giovanni,
Le festin des dieux,
1514,
Huile sur toile,
170 x 188 cm,
National Gallery of Art, Washington,
Image par Mark Harden



Michel-Ange,
La Pietà,
1499,
Marbre,
174 × 195 × 69 cm
Basilica di San Pietro, Vatican , Rome,
Image par Mark Harden



Nicolas Poussin,
La Danse de la vie humaine,
1634-1636,
Huile sur toile,
83 × 105 cm,
Wallace Collection, Londres,
Image par Mark Harden



Nicolas Poussin,
Les bergers d'Arcadie (Et in Arcadia ego),
1637-1638,
Huile sur toile,
85 × 121 cm,
Musée du Louvre, Paris,
Image par Mark Harden



Barbarelli, Giorgio (Giorgione),
La Tempête,
Entre 1507-1508,
Huile sur toile,
82 × 73 cm,
Gallerie dell'Accademia, Venise,
Image par Mark Harden



David, Jacques-Louis,
La mort de Socrate,
1787,
Huile sur toile,
129,5 x 196,2 cm,
The Metropolitan Museum of Art, New York,
Image par Mark Harden



Ingres, Jean-Auguste-Dominique,
Jupiter et Thétis,
1811,
Huile sur toile,
327 × 260 cm,
Musée Granet, Aix-en-Provence,
Image par www.ibiblio.org



Ingres, Jean-Auguste-Dominique,
La source,
1856,
Huile sur toile,
163 x 80 cm,
Musée d'Orsay, Paris,
Image par www.ibiblio.org



Bouguereau, William,
Humeur nocturne,
1882,
Huile sur toile,
207,5 × 108 cm,
Museo Nacional de Bellas Artes de La Habana,
Image par Mark Harden



Corot, Jean-Baptiste Camille,
Une matinée; la danse des nymphes,
Vers 1850,
Huile sur toile,
97,7 x 130,5 cm,
Musée d'Orsay, Paris,
Image par Mark Harden



Corot, Jean-Baptiste Camille,
Orphée ramenant Eurydice des enfers,
1861,
Huile sur toile,
112,7 x 137,2 cm,
Museum of Fine Arts, Houston,
Image par Mark Harden



Watteau, Antoine,
La perspective,
Vers 1715,
Huile sur toile,
46.7 cm x 55.3 cm
Museum of Fine Arts, Boston
Image par Mark Harden



Légaré, Joseph,
Saint Jérôme entendant la trompette du Jugement dernier (La Vision de saint Jérôme),
vers 1825,
Huile sur toile,
154,8 x 97,8 cm,
Musée national des beaux-arts du Québec, Québec,
Image par Musée national des beaux-arts du Québec



Légaré, Joseph,
L'Incendie du quartier Saint-Jean à Québec, vu vers l'ouest,
entre 1845 et 1848,
Huile sur toile,
82 x 110,7 cm,
Musée national des beaux-arts du Québec, Québec,
Image par Musée national des beaux-arts du Québec



Légaré, Joseph,
Les Cascades de la rivière Saint-Charles à La Jeune-Lorette,
vers 1838,
Huile sur toile,
57,2 x 83,7 cm,
Musée national des beaux-arts du Québec, Québec,
Image par Musée national des beaux-arts du Québec



Plamondon, Antoine, d'après Francesco Trevisani,
Saint François d'Assise en prière devant un crucifix,
1873,
Huile sur toile,
89 x 76,3 cm,
Musée national des beaux-arts du Québec, Québec,
Image par Musée national des beaux-arts du Québec



Hamel, Théophile,
Moïse et les Filles de Jethro,
Après 1838,
Huile sur toile,
120 x 105 cm,
Musée des beaux-arts, Montréal,
Image par Musée des beaux-arts, Montréal



Hamel, Théophile, d'après le Titien,
Le Martyre de saint Pierre de Vérone,
vers 1855,
Huile sur toile,
196,8 x 126,2 cm,
Musée national des beaux-arts du Québec, Québec,
Image par Musée national des beaux-arts du Québec



Hamel, Théophile,
Olympe et Flore Chauveau,
1851-1852,
Huile sur toile,
74,8 x 89,3 cm,
Musée national des beaux-arts du Québec, Québec,
Image par Musée national des beaux-arts du Québec



Hamel, Théophile,
Paysage,
vers 1860,
Huile sur toile,
54,8 x 68,3 cm,
Musée national des beaux-arts du Québec, Québec,
Image par Musée national des beaux-arts du Québec



Franchère, Joseph-Charles,
Ruisseau dans un sous-bois,
1891,
Huile sur toile,
59,8 x 81,2 cm,
Musée national des beaux-arts du Québec, Québec,
Image par Musée national des beaux-arts du Québec



Franchère, Joseph-Charles,
Paysage, début du jour,
vers 1900,
Huile sur toile,
45,5 x 63,6 cm,
Musée national des beaux-arts du Québec, Québec,
Image par Musée national des beaux-arts du Québec



Franchère, Joseph-Charles,
Sainte-Agathe,
vers 1900,
Huile sur toile,
41 x 61,7 cm,
Musée national des beaux-arts du Québec, Québec,
Image par Musée national des beaux-arts du Québec



Franchère, Joseph-Charles,
Hiver dans les Laurentides ,
entre 1915 et 1920,
Huile sur carton,
23,6 x 34 cm,
Musée national des beaux-arts du Québec, Québec,
Image par Musée national des beaux-arts du Québec



Loemans, Alexandre-François,
Les Rapides de Lachine,
1887 ?,
Huile sur carton,
32,4 x 60,5 cm,
Musée national des beaux-arts du Québec, Québec,
Image par Musée national des beaux-arts du Québec



Inconnu,
Les Rapides de la rivière Chaudière,
vers 1835,
Huile sur toile,
20,3 x 25,4 cm,
Musée national des beaux-arts du Québec, Québec,
Image par Musée national des beaux-arts du Québec



Brueghel, Pieter, l'Ancien
Paysage d'hiver avec patineurs et trappe aux oiseaux,
1565,
Huile sur bois,
38 x 56 cm,
Musées royaux des beaux-arts, Belgique,
Image par Mark Harden



Theotokopoulos, Domenikos (Le Greco),
Vue de Tolède,
Entre 1599-1600,
Huile sur toile,
121,3 x 108,6 cm,
Metropolitain Museum of Art, New York,
Image par Mark Harden



Theotokopoulos, Domenikos (Le Greco),
Laocoon,
Entre 1610-1614,
Huile sur toile,
137,5 x 172,5 cm,
National Gallery of Art, Washington,
Image par Mark Harden



Bosch, Jérôme,
La nef des fous,
Entre 1475 et 1500,
Huile sur bois,
58 x 33 cm,
Musée du Louvre, Paris,
Image par Mark Harden



Bosch, Jérôme,
Le portement de croix,
Vers 1510,
Huile sur toile,
76,7 x 83,5 cm,
Musée des beaux-arts, Ghent,
Image par Mark Harden



Grünewald, Mathias,
La Crucifixion, retable d'Issenheim,
Entre 1512 et 1516,
Tempera et huile sur bois,
Musée d'Unterlinden, Colmar,
Image par Mark Harden



Grünewald, Mathias,
La Resurrection, retable d'Issenheim,
Entre 1512 et 1516,
Tempera et huile sur bois,
Musée d'Unterlinden, Colmar,
Image par Mark Harden


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L'art contemporain

Dans cette section, je vais écrire sur l'art contemporain. Au fil de mes lectures, j'écrirai des textes et je ferai des citations. Je travaille de cette façon parce que je suis sous surveillance. Je vais aller dans les bibliothèques et je naviguerai sur Internet, ce qui est pour moi souvent problématique.

Commençons ici par des citations d'Anne Cauquelin qui décrit la situation dans laquelle se retrouve le grand public face à l'art contemporain, alors que le réseau de communication y joue un rôle prépondérant :


« La définition traditionnelle de la communication c'est le passage d'une information d'un émetteur à un destinataire (on dit quelque chose à quelqu'un). En principe les deux sujets, l'émetteur et le destinataire, sont distincts (même si on se parle tout seul c'est à l'autre soi que l'on s'adresse : un dédoublement s'opère). Or, avec le système du réseau communicationnel en boucle, les destinataires ne sont autres que les gestionnaires du réseau. C'est dire que pour le système de l'art contemporain, le fabricant producteur de la mise en réseau d'une information (ici, d'une œuvre) la destine à lui-même, et la consomme après l'avoir fabriquée. »


[...]

« Ce que nous appelons le « public », c'est-à-dire des citoyens ordinaires, sont conviés au spectacle, auquel ils ne peuvent que souscrire. Leur jugement esthétique mis entre parenthèse, il s'agit avant tout qu'ils se rendent compte qu'il s'agit d'art et d'art contemporain, indépendamment de ce qu'ils peuvent eux-même en penser. Le prix, la cote, étant là pour leur assurer que le spectacle a de la valeur. Que c'est bien là de l'art puisque les œuvres sont exposées dans l'endroit ad hoc, au musée ou dans les galeries d'art contemporain. »


[...]

« Avec ce dispositif de l'auto-consommation et de l'auto-exhibition de l'art, le bouclage du réseau est parfaitement assuré. Il peut fonctionner à couvert des intempéries. »

Cauquelin, Anne, L'art contemporain, coll. « Que sais-je », PUF, c1992, p. 57-58.


Autrement dit, une dynamique est créée à l'intérieur de laquelle les « élites » (les opérateurs du réseau) produisent des œuvres et les consomment, leur attribuant ainsi une valeur qui est imposée au public indépendamment de ce qu'il en pense. Il s'agit donc d'une forme de totalitarisme moderne. Tout ça explique aussi les prix exorbitants qui sont payés pour les œuvres devant un public incrédule.


Voici maintenant divers concepts régissant la communication (dont le totalitarisme), que l'américain Andy Warhol a exploité :

« [...] Le réseau, avec la redondance et la saturation, le paradoxe, avec le bouclage sur soi, l'autoproclamation avec le nominalisme, la circulation des signes sur le réseau sans auteur ni récepteur, et enfin le totalitarisme, avec l'internationalisation du système de communication. »

Cauquelin, Anne, L'art contemporain, coll. « Que sais-je », PUF, c1992, p. 82.

Andy Warhol, et d'autres artistes comme Raushenberg, Jaspers Johns, Stella et Lichtenstein, étaient promus par le galeriste et marchand d'art Leo Castelli, qui était un leader en la matière. Ce dernier fonctionnait en privilégiant l'entente et le consensus plutôt que la concurrence : « Les critiques d'art, les conservateurs des grands musées, la presse d'art forment un tout dont dépend la validation des œuvres et des mouvements. Il importe d'obtenir ce consensus pour promouvoir un nouvel artiste. » (Cauquelin, p. 91)


Le réseau doit devenir mondial avec des réseaux qui se recoupent et se recouvrent, ce qui contribue au caractère totalitaire du milieu de l'art :


« Pour être efficace, un réseau doit s'étendre, devenir pratiquement mondial. »

« Ainsi Leo Castelli a-t-il compris la leçon des réseaux : il ne saurait y en avoir qu'un seul, il faut qu'ils se recoupent tous et se recouvrent. Les réseaux mondains (se montrer partout, être de tous les événements) ont autant d'importance que les réseaux médiatiques (leur couverture est indispensable) et ceux-ci sont en définitive des réseaux commerciaux ».

Cauquelin, Anne, L'art contemporain, coll. « Que sais-je », PUF, c1992, p. 92-93.

Ce totalitarisme est imposé par les « élites » tout en étant accompagné par ailleurs d'une propagande ou règne le thème de la liberté par rapport aux anciens régimes monarchiques et autres adversaires des « élites » (Nazis, Hussein, Kadhafi, Moubarak, Corée du Nord, etc.), ces adversaires étant présentés comme absolutistes et oppressifs peu importe la nature réelle de ces régimes et des événements les entourant, que ce soit leur création ou leur chute.

Cette dynamique est aussi liée à celle des individus ciblés se retrouvant sous le type de surveillance dont je fais l'objet, avec un retour en miroir à l'international par un réseau de communication qui semblent justement être unique. J'ai personnellement été ciblé de cette façon. Le réseau politique et le commerce fonctionnent de toute évidence de la même manière : consensus, internationalisation, bouclage et attaques contre la concurrence réelle au profit d'une pensée unique, le tout étant camouflé par une façade et des performances théâtrales.

Une personne n'adhérant pas au consensus et ne recherchant pas l'entente à tout prix, que ce soit artistiquement ou politiquement, peut devenir un individu ciblé et sous surveillance constante en étant siphonné par la système dominant. L'individu ciblé se retrouve virtuellement emprisonné à l'intérieur d'un réseau de communication unique qui utilise pour surveiller des cibles des méthodes dont certaines ont été décrites dans les textes de Nicolas Desurmont (voir la section Documents et preuves du site).



(Cette section a été ajoutée au site le 17 janvier 2016)





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Le Refus global



Avec ce que j'ai constaté après avoir participé à une tribune téléphonique de la radio parlée à la fin de l'année 2005, je sais qu'il est impossible pour quelqu'un de critiquer le système dominant et de par la suite poursuivre sa vie normalement en évoluant en dehors du contrôle et de la surveillance des autorités.

C'est à cette époque que je me suis rendu compte que les médias parlaient continuellement de moi et de ma vie privée, indirectement, sans mon consentement et sans jamais me contacter personnellement, puisque je n'ai aucune affiliation avec un mouvement quelconque dirigé par les autorités. Je ne suis qu'un simple civil avec un statut social peu élevé et je n'appartient à aucune caste.

À la lumière de ce que j'ai vécu, je sais que ce qu'ont fait Paul-Émile Borduas et son groupe avec le Refus global est impossible s'ils n'étaient pas de connivence avec les autorités en place. Tout le système de communication est contrôlé par ces gens et on ne peut pas faire un coup comme celui-là sans faire partie de leur réseau et de leur système de filiation généalogique.

De plus, la publication du roman 1984 en 1949 tant à démontrer que le système de surveillance intime des gens à domicile existait déjà à l'époque de la publication du Refus global. C'est ce que nous dévoilaient indirectement et partiellement les autorités anglophones avec ce roman.

Une chose que j'ai apprise dans le cadre de mon ciblage, c'est que les autorités nous dévoilent souvent des informations par le biais de la fiction, mais le contenu n'est souvent que partiel et déformé. Il s'agit de l'effet de miroir, une méthode constamment utilisée par les autorités. Lorsqu'il se passe quelque chose de façon souterraine au niveau des simples civils sans notoriété, que ce soit dans la sphère artistique ou politique, les autorités créent leur propre version, partielle ou déformée, plus acceptable à leurs yeux et sous leur contrôle, qu'ils renvoient à la population. C'est fort probablement – personnellement, j’en suis certain – ce qui s'est passé avec le roman 1984, un roman anglais. Des gens ont dénoncé, quelque part, la surveillance dont ils faisaient l'objet et les autorités ont publié cette information sous forme d'un roman sans dire exactement de quoi il en retourne.

Pour ceux qui doutent de ce que j'avance ici et qui croient qu'Orwell a eu l'idée, seul, d'écrire un tel roman sans se baser sur ce qui provient des milieux souterrains, je peux donner l'exemple d'un roman plus récent du même genre qui a été publié à partir de ce que j'écris sur mon site. Il s'agit du roman 2084 : la fin du monde, écrit par Boualem Sansal, un arabe assimilé et américanisé travaillant pour le réseau mondialiste. Vous pouvez voir le roman ici. Sur mon site, je parle de la capacité qu'ont les autorités de lire les pensées directement dans la tête des gens. Dans le roman 1984, il y a la police de la pensée, mais la lecture directe des pensées dans la tête n'est pas mentionnée explicitement. Les pensées sont plutôt devinées en surveillant les gens et en espionnant leurs conversations. À la suite de mes propos, les autorités ont fait publier un roman dans lequel ce procédé de lecture des pensées est utilisé sur la population par les Islamistes, parce que j'ai dit que ce sont en fait les anglo-américains qui ont le contrôle sur ce type de surveillance, qui ont attaqué le monde arabe et qui font de la diffamation à leur sujet. Ce roman a été publié quelques années seulement après la mise en ligne de mon site et je sais qu'il s'agit du retour en miroir.

Le roman 1984 constitue donc un indice que le système de surveillance spécifique et intime d'individus était en place en 1948, lors de la publication du Refus global. Comment est-ce que Borduas et son groupe auraient pu faire ce qu'ils ont fait dans un tel contexte sans travailler pour les autorités? Lorsque l'on connaît le phénomène du retour en miroir et que l'on est un individu ciblé, il nous apparaît comme étant fort probable, même évident, que ce manifeste soit en fait une imitation déformée d'une critique du système dominant provenant de milieux souterrains. Selon l'habitude des autorités progressistes et mondialistes, la source réelle de cette critique devait provenir d'une idéologie adverse, probablement des canadiens-français plus conservateurs et croyant en Dieu (même si c'est Duplessis qui était au pouvoir au Québec à cette époque), qui ne veulent pas ou n'aiment pas travailler pour les anglophones et leurs diverses réseaux, même quand tout se passe en français, et dont on surveille le niveau d'intégration. Il peut aussi s'agir de d'autres types d'individus marginaux. Selon mon expérience, je sais que ce type de déformation par rapport à des individus souterrains est courant, car j'en ai souvent été témoin.

Le fait qu'en apparence les autorités aient eu l'air d'être contre le manifeste de Borduas n'est pas significatif, car les autorités se créent toujours une opposition en fonction de ce qui se passe de façon souterraine. Tout doit se passer à l’intérieur de leur giron, même la critique de leur système.

Il y a tout un dispositif qui a été mis en place par les autorités mondialistes anglophones autour de 1948, après la Deuxième Guerre mondiale, et le Refus global a été publié dans cette mouvance. Cette guerre figure parmis les événements qui ont permis aux autorités de consolider leur projet mondialiste.


La publication du Refus global coïncide avec les événements suivants :


-Mise en place de programmes de contrôle mental par les américains.

-Publication du roman 1984 (1949).

-Création de l'état d'Israël (1948).

-Création de la Corée du Nord et du Sud (1948).

-Premier témoignage concernant l'observation d'OVNI, en 1947 : manipulation américaine.

-Arrivée de la télévision comme média populaire, après la guerre.

-Paul-Émile Borduas et Ozias Leduc habitaient la municipalité de Saint-Hilaire, au Québec. L'ufologue et agent du système anglo-américain (et/ou du crime organisé) Richard Glenn s'est aussi établit à cet endroit. Il y a quelque chose de bizarre qui se passe là.





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Indications démontrant que Borduas était un proche des classes dirigentes


● Le père de Paul-Émile Borduas, voiturier, ferronnier et menuisier, a été le premier citoyen de Saint-Hilaire à posséder une voiture. Il a été conseiller municipal de Saint-Hilaire et devint marguillier en 1942. Les Borduas étaient donc des notables. Ces informations sont significatives, car elles permettent de constater que Borduas, malgré son prolétarisme culturel, n’était pas le commun des mortels. Il était en fait le fils d'une personne qui évoluait dans les réseaux des autorités et c'est probablement ce qui lui a permis d’être un proche d'Ozias Leduc.

● La mère de Paul-Émile Borduas, Eva Perrault, s'occupait de son jardin qui jouissait d'une certaine réputation dans la région de Saint-Hilaire. Comme nous venons de le mentionner, les Borduas étaient des notables et devaient appartenir à certains réseaux afin d'entretenir cette réputation.

● Paul-Émile Borduas a été vice président de la Société d'art contemporain. On ne peut pas occuper un tel poste si on ne fait pas parti des réseaux liés aux autorités, même si ces gens donnent l’apparence d’être opposés au système dominant.

● Le maître de Borduas, Ozias Leduc, a été membre du conseil municipal de la ville, marguillier, fondateur et vice-président de la commission mise en place à propos de la décoration de l'église paroissiale de Saint-Hilaire ainsi que membre fondateur et directeur de la Société d'Histoire régionale de Saint-Hyacinthe. Il s'agit donc d'un notable. Encore une fois, on ne peut pas occuper tous ces postes sans être un proche des classes dirigeantes.


C'est le problème des simples civils que d'avoir des gens au-dessus de leur tête qui imposent le prolétarisme culturel. Nous voyons constamment des personnalités publiques dans les médias qui agissent ainsi et qui tirent les gens vers le bas sur le plan intellectuel, psychologique et spirituel. Tout cela fait partie de la dynamique de la décomposition.



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Lambert, Pierre, Borduas: le rebelle de Saint-Hilaire, Salaberry-de-Valleyfield, QC : Marcel Broquet, 2015, 105 p.

Reid, Dennis, A Concise History of Canadian Painting 2e ed., Toronto: Oxford University Press, 1988, xii, 418 p.





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Borduas et la décomposition

Dans le manifeste du Refus global, Paul-Émile Borduas fait référence à la décomposition, ce qui, pour un individu ciblé, peut rapeller les mesures de décomposition.

Lorsqu'il mentionne cette décomposition, Borduas fait référence à la situation du christianisme. Selon lui, cette décomposition aurait débuté aux 13e et 14e siècles pour faire place à la raison. Pourquoi fait-il référence à la décomposition?

Dans un système où tout est contrôlé, y compris l’opposition, les différents intervenants travaillant pour le système dominant ― artistes, intellectuels, politiciens, etc. ― reprennent la critique sociale provenant des activités artistiques, culturelles et politiques souterraines afin, justement, d'en garder le contrôle. Puisque les autorités ont un projet de totalitarisme mondial qu'ils ont développé par la raison, ils doivent se créer stratégiquement une opposition, car ils sont critiqués. Borduas reprend donc cette critique de la raison, même si les classes dirigeantes pour lesquelles il travaillent mettent de l'avant un plan développé de façon rationnelle et que ses propres idées ont pour origine le marxisme, une idéologie mondialiste développée par la raison.

Lorsque Borduas dit que la décomposition a débuté au 13e et 14e siècles pour faire place à la raison, ce qu'il attaque, c'est la culture académique qui s'est développée à la Renaissance, comme il est courant de le faire dans les milieux culturels contemporains. Une chose qui est détestée de la Renaissance, c'est l'épanouissement de l'individualisme tant sur le plan individuel que national. (Voir à ce sujet la section intituléeL'individualisme) Tout cela indispose les mondialistes, puisqu'ils veulent un monde totalement administré dans lequel les individus, les pays, les nations, les cultures, les religions et les diverses croyances devraient être intégrées et se retrouver sous leur contrôle dans un système collectif. Les autorités prônent une forme d'égalitarisme au niveau de la population civile en plaçant en même temps en décomposition, de façon hypocrite, des individus et des groupes ciblés. C'est pour les besoins de leur égalitarisme collectif qu'ils aiment souvent, par le biais de leur infrastructure culturelle, se référer à certains aspects du Moyen-Âge plutôt qu'à la Renaissance, le Moyen-Âge étant un univers où l'on favorisait le travail collectif et l'anonymat. Ce que Borduas et les classes dirigeantes veulent du Moyen-Âge, ce n'est pas tant l'aspect religieux que le contrôle collectif, la population étant actuellement gérée de cette façon. La moindre tentative d'évoluer en marge de la doctrine dominante est ébruitée. C'est de cette façon que fonctionne le harcèlement en réseau. La communauté dominante est alertée et un large réseau d'individus adhérant à diverses variantes de l'idéologie dominante harcèlent une ou des personnes ciblées.

Pendant cette période que l'on appelle la Renaissance, il n'y a pas que la raison et le calcul mathématique qui régnaient culturellement. Il y avait aussi la ferveur religieuse et une foi plus individualiste, même à l’intérieur du catholicisme. Borduas met l'accent sur le règne de la raison et la décomposition religieuse parce que, justement, le projet des classes dirigeantes mondialistes pour lesquelles il travaillait est un projet rationnel dont un des aspects est la décomposition du religieux et des diverses croyances et cultures. Ces gens, communautés et individus de croyances diverses, sont davantage tolérés lorsqu'ils s'intègrent et qu'ils ressemblent aux tenants de la culture dominante. Les autorités font pression sur eux par le biais des médias, cherchent à les hameçonner et les surveillent à domicile pour voir ce qu'ils font et recueillir des éléments qu'ils peuvent utiliser à des fins de chantage pour les forcer à délaisser leurs croyances.

De plus, Borduas accole à son discours des œuvres totalement anti-religieuses. Il exprime plutôt son intériorité psychologique selon une conception freudienne et non une intériorité axée sur l'existence de l'âme, cette âme qui est la connexion avec le monde invisible et divin. Borduas critique stratégiquement ce qu'il identifie comme étant une décomposition du christianisme, mais n'en propose pas la recomposition. Il participe plutôt à la déconstruction de toute la tradition picturale qui se rattache au christianisme, ce qui inclue aussi la Renaissance. Lorsque je parle du religieux, je fais aussi référence au paganisme antique qui constitue une des sources du christianisme.

Le monde antique, dont se sont inspirés les artistes de la Renaissance et leurs suiveurs, et dont s'inspiraient aussi avec moins d'éclat des architectes et écrivains du Moyen-Âge, était beaucoup plus religieux que le monde contemporain des 20e et 21e siècles. La Renaissance ne constitue pas la fin du religieux, au contraire. Une plus grande liberté religieuse y régnait à l'écart des règles monastiques du Moyen-Âge, ce qui n'intéresse pas Borduas, pourtant supposément épris de liberté. Il est trop anti-religieux et sa référence au Moyen-Âge est plus stratégique que religieuse. C'est le collectivisme qui l'intéresse par rapport à des cibles qui, elles, doivent rester anonymes.

En regardant ce qu'a fait Borduas à partir du début des années 1940, ainsi que ce qui se passait avec Alfred Pellan, il est évident que ce qui est en décomposition c'est la culture académique, un courant issue de la Renaissance dont les fondements sont judéo-chrétiens et gréco-romains. C'est par entourloupe que Borduas fait référence à la décomposition en la situant à la fin du Moyen-Âge et préparant la Renaissance, parce que, justement, lui et le réseau pour lequel il travaillait ont placé le courant académique issue de la Renaissance en décomposition et qu'ils voulaient confondre les gens à propos de la nature réelle de cette décomposition qui est en cours dans le monde d'aujourd'hui.

Ce n'est pas qu’une forme d’art comme le classicisme n'ait aucune présence aujourd'hui. Il est cependant inséré dans une idéologie à l'intérieur de laquelle il n'est qu'un élément parmi les autres, se retrouvant la plupart du temps en situation d'infériorité lorsqu'il n'est pas absent, surtout en art visuel. La musique dite classique a été instrumentalisée par le pouvoir dominant et est placée dans un contexte idéologique global qui est tout sauf classique. Malgré ce que certains peuvent penser, le mondialisme est plutôt anti-classique, puisqu'il attaque le classicisme de toutes les cultures, prônant au niveau de la population civile un égalitarisme quand même assez radical, avec toutes sortes de manipulations hypocrites où ce qui est censé se retrouver au-dessus se retrouve en-dessous en disant que tout est égal. La culture populaire, ou le prolétarisme culturel, se retrouve au-dessus, souvent même dans les classes plus aisées.

Un autre aspect de la décomposition liée au Refus global, c'est l'idéologie freudienne à laquelle ce manifeste est associé. La psychanalyse freudienne place la sexualité au centre de tout, ce qui est incompatible avec la religion et des exigences spirituelles plus rigoureuses. Borduas dénonce l'état dans lequel se trouve le christianisme, mais le place dans un contexte où il ne peut fonctionner normalement, la sexualité pulsionnelle n'étant pas ce qui se trouve au centre de la conception de l'humain chez les religions officielles et de plusieurs courants spirituels dont l'origine est plus ésotérique. Cette posture freudienne permet aux rhéteurs de commettre des attaques sexuelles contre des adversaires idéologiques et de faire régner une fausse vérité.

C'est très probablement par imitation est effet de miroir que Borduas dénonce l'état dans lequel se trouve le christianisme et c'est la raison pour laquelle il le replace dans un contexte problématique. C'est ainsi que fonctionne la décomposition : par l'imitation et la manipulation.



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Bourassa, André G. et Lapointe, Gilles, Refus global et ses environs, Montréal: Ministère des affaires culturelles, Bibliothèque nationale du Québec; Montréal: L'Hexagone, 1988, 184 p.

Delumeau, Jean, La civilisation de la Renaissance, coll. Les grandes civilisations, Paris: Arthaud, 1984, 539 p.

Gagnon, François-Marc, Paul-Émile Borduas (1905-1960) : biographie critique et analyse de l'oeuvre, Montréal: Fides, 1978, 560 p.

Raymond, Philippe (Dir.) et Rials, Stéphane, Dictionnaire de philosophie politique, 3e ed., Paris : Presses universitaires de France, 2003, xv, 892 p.

Reid, Dennis, A Concise History of Canadian Painting 2e ed., Toronto: Oxford University Press, 1988, xii, 418 p.

Robert, Guy, Borduas, Montréal: Presses de l'Université du Québec, 1972, 340 p.





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À propos d'un texte de Patricia Smart

Patricia Smart a écrit un texte sur le Refus global, intitulé « Refus global à travers les générations d'intellectuels », dans lequel elle retrace les écrits de tous ceux qui ont fait référence au manifeste depuis sa parution jusqu'au années '90.

Nous pouvons remarquer dans le texte de Smart qu'elle fait référence indirectement à ce que disent des gens comme moi qui ont expérimenté ce que l'on appelle l'« effet de miroir » ou « le retour d’information » dans le système de communication.

Elle y fait référence dès la première page de son texte :

« S'il y a un mythe autour de Refus global, il me semble qu'il est à chercher moins dans le sens d'une déformation que dans la résonance que le texte a eue pour chaque génération d'artistes et d'intellectuels québécois au cours des cinquante dernières années. Chaque décennie ou à peu près, il semble que le manifeste tombe dans l'oubli, pour ensuite renaître de ses cendres, sous une forme légèrement différente, pour la nouvelle génération qui le découvre. »

Nous pouvons voir dans cette citation que Patricia Smart nie le phénomène de la déformation dans le système de communication, fort probablement pour le camoufler. Bien entendu, elle n'aborde pas le Refus global et les textes y faisant référence sous l'angle du ciblage d'individu, car elle travaille pour les autorités et ces gens ne veulent pas parler de cet aspect de la dynamique.

Je sais que cette déformation qu'elle nie existe bel et bien et qu'elle est due au ciblage d'individu, car j'ai vécu cette situation. Cette déformation provient du fait que les propos d'un individu ciblé sont assimilés au Refus global à l'insu de ce dernier, c'est-à-dire que l'on ressort le manifeste en y associant les idées de la dite cible. C'est l'imitation dans le dispositif des autorités qui crée cette situation où le manifeste « renaît de ses cendres sous une forme légèrement différente ». Chaque fois qu'un simple civil (ou des civils) membre d'aucune caste et qui évolue à l'extérieur du dispositif pose un geste qui relève d'un manifeste par rapport au milieu artistique, on ressort le Refus global avec une rhétorique modifiée et ajustée à la situation afin de tout neutraliser.

Patricia Smart débute son texte de cette façon, en parlant du manifeste qui renaît de ses cendre et en niant la déformation, pour mettre tout cela au clair immédiatement par rapport à la où les cibles concernées. Pour elle et les classes dirigeantes pour lesquelles elle travaille, il ne devrait pas y avoir de rupture idéologique avec le Refus global et le manifeste devrait être passé de génération en génération afin de maintenir leur idéologie en place. Les propos des cibles doivent donc être associés au manifeste même quand la cible est contre le Refus global. Les autorités parlent à la place de la dite cible et lui mette ce manifeste au visage en changeant la rhétorique, tout ça accompagné d'une dynamique mimétique dans le milieu artistique, avec déformations et inversions. C'est pour cette raison que, environ chaque décennie, le manifeste réapparaît sous une nouvelle forme, comme le dit Smart. Il s'agit d'opérations où la rhétorique entourant le manifeste est retravaillée afin de l'ajuster au discours de nouvelles cibles et de chercher à les assimiler. Ils recherchent la rhétorique béton pour que les gens ne puissent rien dire, indépendamment de la vérité qui, de toutes façons, n'existe pas pour plusieurs d'entre eux.

L'assimilation est une des principales stratégies adoptées par les autorités mondialistes qui se cachent derrière la publication de tels manifestes. Les discours locaux sont repris et remaniés par des agents qui travaillent pour les classes dirigeantes afin de contrôler le tissu social et de réorienter la façon dont la critique sociale devrait selon eux s'articuler, c'est-à-dire en fonction de leurs préoccupations mondialistes et leur progressisme, et non celles de divers intervenants locaux qui sont rabroués.

C'est cet ajustement au discours de nouvelles cibles qui cause toute cette variété de commentaires souvent contradictoires liés au Refus global. Les intellectuels sont assignés à l'écriture de textes par les autorités. Le contenu de ces textes provient de la surveillance de la population, plus particulièrement de ceux qui sont ciblés pour avoir émis des commentaires publiquement ou pour tout autre motifs. C'est pour cette raison que l'on entend des commentaires comme ceux d'Hubert Aquin, de Jacques Ferron, de Michèle Lalonde, ainsi que tous les autres cités par Patricia Smart. Ces gens s'alignent sur ce que l'on pourrait qualifier de « complainte » publique et adoptent toutes sortes de points de vu stratégiques pour neutraliser cette dite complainte. C'est ce que l'on appelle de l'opposition contrôlée. Tout le réseau intellectuel et culturel fonctionne de cette façon.

Les preuves que nous avons de l'utilisation de ce système par les autorités sont les textes de Nicolas Desurmont (peu importe qui est réellement cet individu) ainsi que les témoignages comme le mien et de d'autres individus ciblés réels. Il est plus facile de comprendre et de croire en l'existence d'un tel système lorsque nous avons personnellement vécu la situation.

Patricia Smart termine aussi son texte en faisant référence à cette situation, toujours indirectement :

« En outre, il y a eu au cours des quinze dernières années, et surtout durant les événements fêtant le cinquantenaire, une certaine « récupération » du manifeste incendiaire par les pouvoirs en place. En témoignent, entre beaucoup d'autres exemples, le parrainage de l'exposition Borduas au Musée d'art contemporain par la compagnie de tabac Benson and Hedges, les timbres commémoratifs lancés par Postes Canada, et les publicités de banques et de compagnies de courtiers en valeurs immobilières qui ont parsemé le supplément double du Devoir consacré à l'automatisme. Malgré cela, l'essence de ce texte polysémique semble à proprement parler irrécupérable, se métamorphosant encore, de génération en génération, selon les aspirations et les inquiétudes changeantes de ses lecteurs. »

Lorsqu'elle dit que le texte se métamorphose « de génération en génération, selon les aspirations et les inquiétudes changeantes de ses lecteurs », elle fait encore une fois référence indirectement à la déformation du discours des cibles, ces lecteurs qui sont en fait contre Borduas, les automatistes et le Refus global. Les autorités les forcent à être suiveur d'une chose qu'ils rejettent, et c'est dans ce but que semble avoir été écrit le texte de Smart.

Les textes des intervenants cités par Patricia Smart qui sont défavorable au Refus global, celui de Jacques Ferron publié en 1972, et le livre Acceptation globale, publié en 1986, sont truffés de commentaires assassins envers les cibles imitées qui sont restées souterraines et qui sont à l'origine de ce genre de publications. Un exemple de cela, c'est lorsque Ferron dit à propos de Borduas, mais en fait à propos de celui ou ceux qui ont voulu s'en prendre à Borduas, « insatisfait de lui même, il fit tout pour mettre fin à cette carrière et en recommencer une deuxième ». Quand Ferron émet ces commentaires, c'est parce que les autorités ne veulent pas que certains civils ciblés deviennent artistes ou intellectuel, même de façon marginale. Ils ne veulent placer que leurs propres agents. Les cibles sont quant à elle traitées de perdants qui veulent recommencer leur carrière, alors qu'elles ont en fait été placées en décomposition (zersetzung) par les autorités. Le ciblage se fait indirectement, dans ce cas-ci par le biais de Borduas, comme c'est toujours le cas avec les individus ciblés. Ferron fait aussi référence à la magouille universitaire concernant les cibles en disant « Éthier-Blais est en train d'en faire sa thèse de doctorat en lettres ». Ça, c'est parce qu'ils empêchent hypocritement et indirectement une cible de faire sa thèse de doctorat avec son sujet. Ils placent leur agent et ils le nomment par son nom de famille, « Éthier-Blais », comme c'est courant dans les milieux intellectuels corrompus, parce qu'ils lui font un certain nom, dans un endroit précis du système de communication, sur le dos d'un individu ciblé.


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Smart, Patricia, « Refus global à travers les générations d'intellectuels », Les automatistes à Paris. Actes d'un colloque, sous la dir. de Lise Gauvin, Montréal, Les 400 coups, « collection post-scritpum », 2000, p. 93-104.





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Cent cibles : un ouvrage faisant indirectement référence aux individus ciblés

En 1998, dans le cadre du 50e anniversaire du Refus global, un petit livre intitulé Cent cibles a été publié. Le titre de cet ouvrage est une référence indirecte aux individus ciblés.

Lorsque ces gens rapportent leur situation, ils se font souvent dire indirectement par les autorités, qui retournent la situation contre eux, que leur problème ou la nature de leurs points de vue et de leurs préférences idéologiques et artistiques sont dues à une trop grande sensibilité de leur part, d'où ce titre en jeux de mots : Cent cibles.

À l'intérieur de ce livre, on peut d'ailleurs trouver des références à Big Brother et au fait que tout soit contrôlé, partout. Les autorités utilisent toujours le roman 1984 pour gérer le problème de la surveillance qui est rapportée par des cibles, au lieu de dire clairement de quoi il en retourne et de finalement remédier à cette situation.

Il y a même une page où il y a un miroir pour faire référence à l’effet de miroir dans le système de communication. « Regardes-toi dans le miroir! », alors que des cibles reçoivent un retour d’information par le biais d’éléments recueillies par la surveillance de leur vie privée, de façon déformé et la plupart du temps en inversion, comme dans un miroir. Ce sont ceux qui utilisent ce genre de stratagème qui devraient se ragarder dans le miroir.

Ce livre, Cent cibles, est truffés d’œuvres peintes de style contemporain, ce qui constitue, avec l'art actuel, le style officiel des classes dirigeantes d'aujourd'hui. Pour eux, les « vieux » académistes sont un problème, mais pas les modernes, voyons donc! Surveiller les artistes, ce n'est pas eux qui font ça!

Les artistes et écrivains ayant participé à ce projet sont inconnus du public et sont proches du réseau culturel. Ils sont placés là en ressemblant au commun des mortels, afin de parler à la place des cibles et de contrôler le discours autour du Refus global. Qu'un tel document ait été publié avec un tel titre constitue un élément de preuve démontrant que tout ce qui entoure le Refus global dans le système de communication est en fait du ciblage et qu'il y en a d'autres qui, avant moi et de façon souterraine, ont critiqué le Refus global ou se sont rendu compte qu'il y a quelque chose qui cloche avec ce manifeste, mais se sont fait rabrouer et gérer. Ces gens ne sont pas nécessairement des artistes ou écrivains qui travaillent avec un style contemporain.


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Lapointe, Gilles, Cent cibles, Montréal: s.n., 1998, 32 p.


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L'individualisme

Comment prétendre que l'individualisme règne dans le monde d'aujourd'hui si l'on nous place sous surveillance particulière lorsque nous pensons et agissons réellement par nous-même? La société orwellienne est le contraire de l'individualisme. Il s'agit plutôt d'un totalitarisme où les gens sont placés dans la prison technologique moderne et amenés par les autorités à s'autoréguler en fonction de l'idéologie mondiale qui est en place. L'individu, au niveau de la population civile et même dans les classes plus aisées, est obligé de se développer par le biais du collectivisme de la culture de masse.

L'individualisme auquel je fais référence a pour origine la bourgeoisie d'autrefois et ses rapports avec la monarchie. Ce sont ces gens qui sont à l'origine du système académique et du classicisme. Il s'agit d'un individualisme qui fait preuve d'indépendance face à la culture de masse. Autrefois, même des prolétaires avaient accès à ce type de psychologie, notamment par le biais du système d'éducation où les gens développaient leur personnalité de façon plus indépendante par rapport à la masse selon une conception plus classique que tyrannique de la liberté.

L'« individualisme » contemporain constitue plutôt une neutralisation de cet individualisme d'origine bourgeoise. Il s'agit d'une attaque contre la société bourgeoise d'autrefois et des paysans devenus prolétaires. Beaucoup de « bourgeois » d'aujourd'hui n'ont rien à voir avec le bourgeois plus pudique d'autrefois (que je n'idéalise pas, je parle du développement de l'individualisme par rapport au contrôle social). Les « bourgeois » qui ont participé à la mise en place de la situation actuelle, ainsi que les classes qui leurs sont supérieures, ne se sont pas comportés de la façon dont ils devraient se comporter, notamment envers les prolétaires. Ils ont plutôt fait preuve de complicité criminelle.

Les autorités préfèrent le collectivisme, sous sa forme officielle ou non, comme mode de résolution/neutralisation des problèmes. Ils tuent la compétition en noyant des individus ciblés dans la culture de masse. C'est la raison pour laquelle ils aiment tant la foule, du moins en apparence, car ils peuvent, par le biais des médias et du milieu de la variété, la tourner contre leurs cibles. Ils sont hypocrites et font passer la vie privée pour de l'hypocrisie alors que cette dernière est nécessaire à la réalisation de ce que les gens veulent faire de leur vie.

Il y a un transfert rhétorique qui s'est effectué d'un individualisme d'origine bourgeoise vers le pseudo individualisme de la culture de masse lié à une sexualité ouvertement libre et à la consommation de drogues afin de créer une apparence d'individualisme et un concept de liberté moins classique et plus tyrannique. L'individualisme auquel certaines personnes font référence concernant l'époque contemporaine constitue en fait une tyrannie de la culture de masse anglo-américaine, c'est-à-dire une fausse liberté. C'est orwellien.

Comme Michel Foucault l'explique, la libération sexuelle des années 1970 est plus compromise qu'on ne le croit, car il y a, par-dessus certains comportements sexuels, une identité fixe (gay, bi, trans, etc.) qui est attribuée afin de définir la personne et de lui assigner une place dans le monde social. J'ajouterai pour ma part que la case hétérosexuelle n'est souvent pas retenue comme option lors de ce genre de manifestation sociale. Je crois que l'hétérosexualité est naturelle et non idéologique, ce qui ne veut pas dire que des hétérosexuels n'ont jamais eut de comportements homosexuels, que ce soit des comportements sexuels brutes ou primaires ou de l'ordre de ce que nous pourrions qualifier comme étant de la stricte génitalité. Ces comportements n'ont cependant pas à être abordés chez eux en tant qu'orientation sexuelle ou comme changement de l'orientation sexuelle avec une identité attribuée qui n'a rien à voir avec ce qu'ils sont réellement.

Quant à Jean-Paul Sartre, il mentionne une liberté de choix entre possibles préfabriqués. Les individus sont extéro-conditionnés et ils vont tous dans le même sens. Ils s'efforcent de devenir ce que les autres sont.

(Je mentionne ces deux philosophes afin d'appuyer mes propos, indépendamment de leur affiliation idéologique, de leur lien avec les autorités et de qui ils sont réellement. Ce genre de philosophes médiatisés sont toujours des agents perroquets qui déforment les propos recueillis par le biais de la surveillance.)

Pour ma part, je sais que les gens qui font des choix, qui agissent et qui parlent de façon réellement individuelle, deviennent des individus ciblés par les autorités et par une partie de la population. On leur enlève complètement leur vie privée et on s'ingère dans leurs affaires.

Les revendications liés à la sexualité, à l'orientation sexuelle et à la consommation de drogues que nous voyons dans les médias ne sont pas individualistes. Quand on est individualiste, on réclame un espace privé et on garde sa vie privée et son intimité pour soi-même; on ne les partage, si on le désire, qu'avec un groupe restreint d'individus que l'on a choisis ou une personne choisie. Les autorités, avec des pressions liées à la culture de masse, force les gens (de façon plus aiguë en ce qui concerne les individus ciblés) à partager leur vie privée et leur intimité avec n'importe qui et avec la foule.

Ces revendications que l'on voit dans les médias sont aussi dues au mimétisme découlant de la surveillance d'activistes réels, de militants réels, d'artistes, de personnes s'adonnant à des activités intellectuelles, de civils appelant sur une tribune téléphonique, etc. Le but et de les contrôler et de les ramener dans les rangs. « Les pouvoirs en place vont gérer ça, avec les médias », « Vous ne fonctionnez pas par vous-même en marge de notre système idéologique », « Nous allons vous dire comment cela fonctionne », d'où le discours sur les drogues et la libération sexuelle, le « mariage » gay, le défilé de la fierté gay (assignation de la fierté ailleurs que là où la cible la plaçait). « Fait ton coming out », « Ta vie privée ne t'appartient pas, elle appartient à la grande communauté mondialiste » « Donnes-nous ton intimité », « Tu vas changer et les autres vont changer aussi, toi par rapport à eux et eux par rapport à toi ». Tout ça est fait par des sociologues et psychiatres technocrates, avec le système de Big Brother. L'individu doit se développer dans la collectivité par le biais de la culture de masse. Les autorités sont contre l'individualisme réel et les revendications que nous voyons dans les médias visent à l'intégration collective.

Malgré ce que certains comportements que nous voyons dans les médias pourraient laisser croire, les autorités ne prônent pas l'individualisme. Elles créent une matrice dans laquelle des personnalités publiques imitent ce que des civils font. (Voir à ce sujet la section À propos du mimétisme) Musique, danse, écriture, art visuel, sport, etc., toutes ces activités existaient au préalable. Les autorités modernes ont créés leur propre version pour garder le contrôle et neutraliser les gens qui se démarquaient. Elles veulent que leurs personnalités aient l'air meilleures que ceux qui ont fait tout cela de façon locale, car elles veulent aller chercher le public à la place de toute personne qui pourrait avoir une influence. Elles entraînent leurs vedettes internationales pour jouer ce rôle en utilisant aussi des personnalités locales qui ressemblent aux cibles, mais la plupart du temps avec une déformation au niveau du discours. Il y a tout un réseau de personnalités publiques que nous voyons tout le temps qui sont là pour faire cela, avec divers niveaux de notoriété, selon les besoins. C'est le truc de la culture de masse qui, culturellement, tire tout vers le bas et qui est utilisée par les autorités afin de garder le contrôle à l'échelle mondiale : ils imitent et ils veulent que les gens s'identifient afin de ramener tout le monde dans la grande communauté et les rendre suiveurs d'une version déformée de leurs propres idées, ces dernières étant véhiculées par des personnalités publiques ayant l'air d'agir individuellement, mais qui travaillent en fait pour le réseau de personnalités des autorités mondiales. Toutes les cultures et nations sont attaquées de cette façon.

L'« individualisme » de culture de masse que nous voyons dans les médias a certainement pour origine, même en inversion et par effet de miroir, des revendications individualistes réelles qui se sont exprimées de façon souterraine face aux collectivismes du 20e siècle. Les autorités totalitaires ont eu à neutraliser ces manifestations sans que cela ne paraisse. C'est la raison pour laquelle la culture de 1970, par exemple, peut sembler en apparence plus individualiste.

L'individualisme réel n'existe pas, puisque tout est contrôlé. C'est du totalitarisme et les gens qui s'y opposent de quelque façon que ce soit en subissent les conséquences.

Les comportements « individualistes » sont programmés et imposés par la culture de masse. Les autorités ne nous présentent qu'une apparence de choix. Tout cela vise à l'uniformisation à l'échelle mondiale, ce qui est le contraire de l'individualisme, tant sur le plan individuel que national.

L'« individualisme » contemporain relève de la rhétorique, de la négociation et du consensus. Il s'agit en fait d'un collectivisme.

Comment prétendre que nous vivions dans une société dominée par un individualisme problématique lorsque nous admettons l'existence du totalitarisme et de la surveillance absolue?



Je me suis servi des lectures suivantes pour développer ma pensée au sujet de l'individualisme. JE NE PENSE PAS COMME TOUS CES AUTEURS ET LES PHILOSOPHES SUR LESQUELS ILS ONT ÉCRIT. Plusieurs sont des agents perroquets qui travaillent pour les hauts dirigeants et les technocrates et qui déforment les propos recueillies par le biais du système de surveillance.


Colombel, Jeanette, Sartre, Tome 1 : Un homme en situations, coll. Le livre de poche, Paris : Librairie Générale Française, 1985.

Colombel, Jeanette, Sartre, Tome 2 : Une oeuvre aux mille têtes, coll. Le livre de poche, Paris: Librairie Générale Française, 1986.

Potte-Bonneville, Mathieu, Foucault, coll. Philo-philosophes, Paris, Ellipses, 2010, 125 p.

Rizk, Hadi, « Multiplicité et dialectique: l'enjeu de la totalisation » dans Cabestan, Philippe et Zarader, Jean, Sartre, Paris : Ellipses, 2011, p. 183 à 198.

Martuccelli, Danido et Spurk, Jan, Controverses sur l'individualisme, coll. : Sociologie contemporaine, [Québec] : Presses de l'Université Laval, c2014, viii, 122 p.

Valade, Bernard, « Pudeur ambiguë. Des Anciens aux Modernes », Hermès, La Revue, 2014, Vol.69(2), pp.28-33.




(Cette section a été ajoutée au site le 17 janvier 2016. Modifications le 9 et 27 août 2019. Ajouts les 29 et 30 septembre 2019, ainsi que le 2 octobre 2019. Légère modification les 13 et 16 novembre 2019. Ajout le 11 décembre 2019, modification le 17 décembre 2019. Ajouts et modifications les 8 et 10 janvier 2019, ainsi que le 7 septembre 2023.)






D'autres textes peuvent encore être ajoutés.






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Musique populaire



Anti

Dans cette section, je vais parler de l'exhibition de l'artiste comme anti dans le domaine artistique.

Il y a de ça quelques semaines, dans la nuit du 7 au 8 octobre 2015, la chanteuse populaire Robyn Rihanna Fenty dévoilait ce qui est sensé être la pochette de son nouvel album intitulé ANTI. J'ai l'intention de suivre la sortie de son album, de décrire et d'analyser ce qu'elle fait. Voici un lien vers un article concernant la présentation de cette pochette :

www.vanityfair.com/hollywood/2015/10/rihanna-anti-cover-album-art-r8-roy-nachum

Voici pour l'instant une citation à propos de l'artiste en tant qu'anti :

« Volontaire ou non, l'exhibition de l'artiste comme anti, hors, ou au-delà des règles du marché de la consommation est avérée. Tactique réussie, puisque s'il n'est plus tout à fait l'étudiant pauvre dans sa mansarde qui avec ses amis fréquente les guinguettes et ruine sa santé et sa famille, image héritée du XIXe siècle romantique, l'image que le public se fait de l'artiste n'est pas très éloignée de cette bluette. En fait, il refuse l'idée d'un quelconque enrichissement de l'artiste, s'attachant à l'art désintéressé, à la création « libre », due à la souffrance, quitte à s'aveugler sur ses profits très réels, et accusant plutôt les intermédiaires d'exploiter le producteur, l'artiste. Van Gogh, le maudit, l'exilé de la société, fixe le paradigme, remportant tous les suffrages. »

Cauquelin, Anne, L'art contemporain, coll. « Que sais-je », PUF, c1992, p. 33.

Rihanna (ou son entourage) utiliserait donc ici une image de l'artiste héritée du 19e siècle afin de promouvoir son prochain album et de se faire passer aux yeux du public pour une artiste évoluant en marge des grands réseaux commerciaux, étant la victime courageuse qui affronte l'exploiteur alors que, peu importe ses revenus réelles, elle ne vit visiblement pas dans la misère. De plus, elle met de l'avant cette tactique en utilisant l'art contemporain. Je considère personnellement qu'elle fait aussi de la propagande féministe, puisque c'est une femme qui, étant publicisée à très grande échelle par les médias contrôlés, joue la courageuse qui tient tête à l'establishment.

Il s'agit ici d'un exemple de tactiques qui sont utilisées contre la population civile. Je pense personnellement que les « élites » ciblent les individus de sexe masculin de toutes sortes de manières. Les femmes sont aussi ciblées, mais différemment.


(Cette section a été ajoutée au site le 30 octobre 2015)




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À propos du mimétisme


Ce que les représentants de l'ordre établie peuvent répliquer lorsque des individus ciblés prétendent qu'ils sont imités par les personnalités publiques, c'est que ce sont en réalité les cibles qui imitent ces personnalités, ce qui est faux, du moins en ce qui concerne le harcèlement en réseau.

Nous ressentons déjà un peu ces accusations dans une chronique de Louis Cornellier, un chroniqueur dont je suis la cible depuis plusieurs années, lorsqu'il mentionne l'intellectuel René Girard et qu'il écrit « Adultes, nous identifions les personnes à imiter, c’est-à-dire les vedettes » (note 1). Cette affirmation n'est pas complètement fausse et le phénomène des modes en est un exemple. L'auteur Edgar Morin, dans son livre Les stars, aborde aussi ce type de mimétisme. Cependant, il y a tout un pan de la dynamique mimétique qui est ignoré ici, c'est-à-dire la surveillance d'individus ciblés et l'imitation de ces gens par les personnalités publiques, ce que je subis personnellement depuis plusieurs années.

Dans ses livres, René Girard met l'accent sur la dimension anthropologique qui est à l'origine du mimétisme. Cependant, je crois que dans une dynamique de harcèlement en réseau, le mimétisme par rapport à une cible n'est pas dû qu'à un comportement anthropologique primaire, mais plutôt à des performances mimétiques conscientes mises de l'avant par les agents travaillant pour les autorités qui comprennent la dynamique anthropologique et font des interventions à l'intérieur de celle-ci afin de tourner la situation à leur avantage. Les autorités font imiter des gens dans le but de leur nuire et de les noyer dans une foule adoptant des comportements mimétiques déformés par rapport à la cible en s'alignant sur l'idéologie dominante afin de tout ramener à l'intérieur des limites de cette dernière.

Il y a des choses qu'il faut différencier lorsqu'il est question de mimétisme, d'imitation, d'influence et d'émulation. Agir sous l'influence d'une personne dont on admire le travail, par exemple un artiste, n'est pas la forme de mimétisme dont il est question avec le harcèlement en réseau. Il s'agit d'une influence artistique par rapport au travail d'un artiste qui a déjà été reconnu publiquement. Ce qui caractérise le mimétisme lié au harcèlement en réseau, c'est que l'imitation malveillante est liée à la surveillance d'une cible par les autorités, même à domicile, dans le cadre d'une dynamique mimétique consciemment érigée en dispositif policier et militaire, ce qui relève de vol et du plagiat par un régime politique. C'est cet aspect que camoufle selon moi consciemment René Girard pour le compte des autorités anglo-américaine en développant sa rhétorique sur le dos des individus ciblés. Lui et Edgar Morin cachent ce mimétisme d'ordre criminel, militaire et policier organisé et utilisé consciemment pour son efficacité. Ces auteurs ont très certainement été assigné à la publication de livres pour parler à la place de ceux qui ont vécu le phénomène afin d'être certain que cet aspect du mimétisme ne soit pas dévoilé. Tout comme Foucault, Sartre et plusieurs autres, ils travaillent pour un réseau d'intellectuels liés aux autorités anglo-américaines et leurs alliés qui contrôlent le système de communication et de surveillance.

L'imitation criminelle, policière et militaire malveillante vise à prendre le contrôle d'une communauté d'individus et à s'accorder le crédit de ce qui est fait par ceux qui pourraient en influencer d'autre à l'intérieur de cette communauté. Le travail de ces individus ciblés n'a pas encore été rendu publique, mais les autorités malveillantes du système policier et militaire y ont accédé par la surveillance en utilisant des technologies électroniques pour s'en approprier et l'utiliser dans le système de communication sous une version déformée et réalignée en fonction de leur idéologie. Il s'agit d'un régime prédateur qui s'immiscent dans la dynamique mimétique afin de la faire dévier, de tourner la situation à leur avantage et d'empêcher des individus et des communautés de fonctionner de façon indépendante.

C'est au niveau de ce type d'imitation que se situe une partie de la problématique des individus ciblés. La personne n'a pas de notoriété, n'a pas rendu son travail publique de quelque façon que ce soit, mais est constamment imitée dans le système de communication par des agents d'opposition contrôlée.

Les autorités créent une version artificielle de tout ce qui est fait par les civils du grand publique. C'est la raison pour laquelle nous voyons toutes ces personnalités et vedettes dans le système de communication. Elles sont placées là pour empêcher les gens d'avoir de l'influence dans leur communauté et vont chercher le public souvent en le tournant contre ces cibles et en les harcelant afin de garder le contrôle. Cette tactique est utilisée à l'échelle mondiale dans tous les domaines : affaires publiques, culture, sport, divertissement, etc. Il y a toute une variété de personnalités publiques qui sont ainsi créées à cet effet par les classes dirigeantes.

Hormis le mimétisme d'ordre anthropologique, il existe une forme de mimétisme qui est induit volontairement par les autorités qui ont étudié cette dynamique, les même qui on fait publier des livres comme ceux de René Girard. Il n'y a pas d'intervention qui est faite pour amenuiser le mimétisme subit par les individus ciblés, au contraire, les autorités se servent plutôt du phénomène en sachant ce qui va arriver quand elles surveillent quelqu'un à domicile et qu'elles coulent les informations obtenues par le biais de la surveillance. Les autorités noient la personne de cette façon avec une version déformée de l'information qui a été recueillie par le biais du système de surveillance et c'est ce qui est à la source du phénomène des modes dont elles se servent pour neutraliser des cibles. Je le sais parce que j'ai vécu cette situation.

C'est le système de surveillance qui permet cette déviation de la dynamique mimétique. Les autorités savent que les gens apprennent par l'imitation et elles s’immiscent dans cette dynamique en leur présentant leurs propres modèles afin de faire dévier les comportements des gens. Les personnalités publiques (leur apparence, leurs comportements, leur discours) sont littéralement créées de toutes pièces selon les besoins des classes dirigeantes qui surveillent la population afin d'orienter le mimétisme dans une autre direction.

Edgar Morin, dans son livre Les stars, ainsi que René Girard dans ses ouvrages consacrés au phénomène du mimétisme, ne dévoilent pas cet aspect de la dynamique parce qu'ils travaillent pour les autorités. Toute cette dimension de l'imitation par l'espionnage du grand public est occultée. Morin ne parle que du phénomène des modes et des fans qui aiment les stars et les imitent. Tout ça est très hypocrite de la part des autorités. Les stars sont souvent présentées comme les victimes d'une intrusion dans leur vie privée, alors que ce sont les individus ciblés qui subissent cette situation et qui sont regardés 24h sur 24, même à domicile, par des purs étrangers qui les exploitent. Le courrier des fans présentés par Morin n'est pas nécessaire aux autorités pour analyser les états d'âme du public, puisque les technologies électroniques sont utilisées pour espionner les gens. Ceux qui écrivent aux stars peuvent se retrouver sous surveillance dans une « relation » virtuelle non désirée avec des personnalités publiques qui donnent constamment et indéfiniment des indices au sujet des activités quotidiennes de la cible, comme en fait mention Nicolas Desurmont au sujet du journal télévisé et des médias. (note 2)

Quand à René Girard, il est comme le bourreau ultime de le version virtuelle et psychologique du supplice de la goutte que subit l'individu ciblé. En tant que cible, je sais que ce genre d'intellectuel publient des livres qui ont été écrit sur le dos d'individus ciblés. Girard est comme quelqu'un qui se tiendrait debout, un calepin à la main, en observant et en notant tout ce que subit un individu ciblé, mais en laissant ce dernier à son tourment. En plus de ce qu'il subit, l'individu ciblé se fait enlever les mots de la bouche tout en restant prisonnier de sa situation. Une personne qui voudrait écrire sur sa situation vécu se fera citer Girard comme faisant autorité en la matière parce qu'il travaille pour les classes dirigeantes, alors que tout un pan de la vérité est restée cachée. En plus d’être une référence aux paroles du Christ, c'est peut-être la raison pour laquelle un titre attrayant comme Des choses cachées depuis la fondation du monde est utilisé : pour faire croire que Girard dévoile ce qui est caché alors qu'il ne le fait pas. Il ne fait que de construire une rhétorique en faisant indirectement référence à la situation des individus ciblés avec beaucoup d'éloquence et de culture, ce qui est le truc de ces rhéteurs, mais sans que le problème ne soit jamais réglé par les autorités.

Ce dont je me suis rendu compte depuis que je suis devenu ciblé, c'est que tous les livres publiés par les intellectuels participent en fait de la dynamique mimétique et du retour en miroir. Ces gens et ceux pour qui ils travaillent surveillent le tissu social et quand il y en a qui lèvent la tête et qui expriment tout haut ce qui se passe réellement, leur discours est repris, souvent déformé ou n'est présenté qu'en partie et intégré dans la rhétorique (ou les rhétoriques) stratégique des classes dirigeantes de façon à ce que ce ne soit pas dommageable et que tout continue de tourner à l'intérieur du même système.

Tous ces auteurs sont là pour empêcher les individus provenant du grand public de prendre de l'envergure, et, quand ils le font, que tout se fasse en prenant une certaine tournure idéologique. Il s'agit pour les autorités d'un dispositif d'auto-défense afin de protéger leur système et d'en empêcher la chute.

Quand j'ai réalisé tout cela, je me suis dit que cette situation n'avait certainement pas commencé seulement à notre époque et que si des noms comme Marx, Freud, Nietzsche ou Rousseau sont encore couramment et favorablement véhiculés dans le système de communication des autorités avec les nouveaux noms qui apparaissent, comme ceux de Finkielkraut, Julliard, Onfray ou Bock-Côté, dont j'ai été témoin du mimétisme, c'est qu'ils participent tous de la même dynamique et qu'ils sont issue du même pouvoir. Ces gens sont en fait des perroquets rhéteurs qui reprennent le contenu de la complainte provenant du publique et le régurgitent dans une version remaniée jugée acceptable aux yeux des classes dirigeantes et sous leur contrôle.

Cette dynamique n'a donc pas commencé avec moi ou les autres individus ciblés de notre époque. L'origine de ce système doit remonter à loin dans l'histoire ― au moins presque 300 ans. Je parle de la dynamique liée à la surveillance militaire et policière comme nous la connaissons aujourd'hui; bien entendu, il existe une dynamique anthropologique depuis toujours.

Dans le monde francophone, je crois que ce système est en place au moins depuis la fin de l'Ancien Régime en France avec l'apparition du phénomène de la surveillance généralisée qui s'est poursuivie pendant la Révolution et sous le régime de Napoléon, comme l'explique Michel Roucaud, auteur du texte La surveillance gouvernementale à travers le réseau territorial militaire sous le Consulat et l'Empire (note 3). Foucault voit aussi dans les 18e et 19e siècles la période où est apparu le phénomène de la surveillance généralisée qui est encore présente dans le monde d'aujourd'hui. (note 4)

Avec ce que je connais de la dynamique mimétique en lien avec la surveillance et les milieux artistiques, littéraires et intellectuels, il est plausible de penser que toute la production des grands auteurs du 19e siècle comme Hugo, Balzac, Flaubert, Baudelaire, Rimbaud, etc. soit en fait une production fonctionnant en lien étroit avec la surveillance criminelle, policière et militaire et le vol d'aspirants artistes et de dissidents (probablement souvent religieux et idéalistes, mais il doit y en avoir d'autres aussi) n'acceptant pas la façon dont le système a été réorganisé après l'Ancien Régime et la Révolution. Il doit en être de même avec les peintres, le théâtre, le journalisme, la politique et tout ce qui est véhiculé dans le système de communication. Tous ces grands noms de l'histoire sont en fait des agents travaillant pour les autorités afin de contenir les réalisations provenant du public.

Certains diront que la dynamique mimétique est toujours de nature anthropologique, mais il y a une différence entre un mimétisme primaire et spontané et une dynamique mimétique érigée en système policier et militaire par des gens qui prennent du recul, analysent la situation de façon rationnelle et interviennent consciemment dans la dynamique mimétique afin de la tourner à l'avantage de leur régime politique.



Note 1

Cornellier, Louis, « Sisyphe au centre commercial », Le Devoir, 30 mars 2019.


Note 2

Desurmont, Nicolas, « Vers une problématique du harcèlement criminel en réseau », Revue internationale de criminologie et de police technique et scientifique, Neufchatel, 2006, 3, LIX, p. 353.


Note 3

Roucaud, Michel, « La surveillance gouvernementale à travers le réseau territorial militaire sous le Consulat et l'Empire », dans Laurent, Sébastien (dir.), Politiques sous surveillance, coll. « Espace public », Pessac: Presses universitaires de Bordeaux, 2011, p. 11-31.


Note 4

Foucault, Michel, Surveiller et punir: naissance de la prison, coll. « Tel », Paris : Gallimard, 1975, p. 243-244.

Whitaker, Reg, Big Brother.com: la vie privée sous surveillance, coll. « Laboratoire de communautique appliquée », Sainte-Foy: Presses de l'Université Laval; Paris Denoël, 2001, p. 53.



Quelques éléments de preuve concernant le mimétisme que j'ai subi de la part de personnalités publiques et d'agents sur Internet


Je place ici certaines preuves démontrant que les personnalités publiques et ceux pour qui elles travaillent, ainsi que des agents sur Internet, surveillent des civils et font du mimétisme à leur égard. Il y en a beaucoup plus que ce que je présente ici. Je placerai probablement encore d'autres exemples ici ou dans une autre section.


En voici donc quelques exemples:


- Vous pouvez voir dans cette vidéo ici que lors d'un voyage à Paris en 2013 j'avais pris des photos de moi devant des arcs.

Vous pouvez voir ici, tout comme je l'ai aussi montré dans la vidéo, que j'étais bien à Paris entre le 14 mai 2013 et le 21 mai 2013.

Comme je l'explique dans la vidéo, la même année, Mathieu Bock-Côté publiait un nouveau livre et la photo accompagnant la sortie de son livre dans le journal Le Devoir imitait les photos que j'avais prises à Paris, la tête sous un arc et entourée de lumière. Ces photos ont été combinées en une seule pour la parution du livre de Mathieu Bock-Côté. Je n'avais jamais montré ces photos en public.

Cet individu fait constamment référence à moi dans ses chroniques et dans ses livres. Vous pouvez voir sur mon site que j'ai écrit un texte intitulé Les figures idéologiques. Il a repris cette idée dans cette chronique ici. Le texte est différent, mais vous constaterez qu'il fait référence à un système idéologique ainsi qu'à des figures. Il écrit aussi « il y a une idéologie à laquelle nous devons obligatoirement adhérer. Et ceux qui n’y adhèrent pas pleinement sont sous surveillance » , ce qui est aussi une référence à mon texte. Il y a aussi son livre L'Empire du politiquement correct qui a été produit à partir de la surveillance de ma personne et de mon site.

Cet individu est venu se faire voir dans mon entourage dans un café à plusieurs reprises. Suite à un exposé que j'avais fait à l'université (où l'enseignant ainsi qu'une partie du groupe étaient très louches), il était dans le corridor à ma sortie du local. Il y a aussi le représentant de sa maison d'édition qui est venu faire un tour dans une librairie où je me trouvais en faisant référence à l'une de mes vidéos. Ces gens me surveillent constamment.

- Dans ce document ici, vous pouvez voir j'ai reçû un diagnostique de dystonie focale le 21 août 2016.

Une dystonie focale est une contraction involontaire de certains muscles lorsque l'on fait des mouvements précis, comme par exemple lorsque l'on joue d'un instrument de musique. Ces symptômes peuvent aussi se présenter sur diverses parties du corps, par exemples les paupières.

Ici, ici et ici, vous pouvez voir que la chanteuse Rihanna, ou ceux qui la dirigent, étaient au courant de ce diagnostique même si à l'époque je n'en avais pas encore parlé à qui que ce soit, sauf au médecin bien entendu (je ne prétends pas que c'est le médecin qui a coulé l'information). Comme on peut le voir dans les articles, Rihanna imitait cette situation les 26 août et 2 septembre 2016.

- L'ami de Rihanna, Kanye West, me cible aussi depuis longtemps. Parmi tout ceux qui me ciblent, il y avait aussi l'entourage de Jay-Z (Rihanna, Kanye West, Beyonce, etc.) En novembre 2016, ils ont fait une opération par rapport à une suspension que j'ai eue dans un milieu de travail. Vous pouvez voir ici dans un relevé d'emploi que j'avais arrêté de travailler le 22 novembre 2016. Vous pouvez aussi voir dans cette lettre que mon employeur m'avait demandé d'aller voir un médecin ou de me présenter à l'urgence concernant mon état mental. Je me fâchais en milieu de travail à cause de mon harcèlement. Il y avait aussi un représentant syndical (que je considère comme étant corrompu parce qu'il avait des informations à mon sujet et ignorait le harcèlement) qui disait que j'étais fou parce que je parlais de la surveillance et du harcèlement. Ces gens font du gaslighting.

Le 22 mai 2016, une opération était lancée dans les médias concernant Kanye West qui était supposément devenu psychotique et qui devait aller voir un médecin. Vous pouvez voir un article ici où l'état de Kanye West est considéré comme étant urgent car il était atteint d'un trouble psychiâtrique. Je sais qu'il m'imite car ça faisait plusieurs années que je l'avais après moi. C'était la continuité de tout ce qu'il faisait auparavant.

Il y a certaines sources qui disent que cet événement concernant Kanye West s'est produit le 21 novembre 2016 et non le 22, mais je sais que ce n'est pas vrai. Ils ont changé la date pour essayer de brouiller l'affaire et que je n'aie pas la preuve. Depuis que Donald Trump s'était présenté dans la course pour devenir président des États-Unis, j'ai vu plusieurs dates qui ont été changées concernant des événements qui me ciblaient, car ils ne veulent pas que j'aie la preuve. C'est le truc du roman 1984 où ce qui s'est réellement passé est modifié. Comme nous l'avons vu dans les médias, Kanye West et Donald Trump travaillent ensemble. Trump à souvent fait le perroquet par rapport à moi.

Si vous ne me croyez pas concernant ce changement de date, je peux vous donner des éléments de preuves. J'ai deux vidéos où l'on peut constater qu'il y a quelque chose d'étrange concernant les dates. Quand on regarde sur les moteurs de recherche à propos de cet incident, vous pouvez voir qu'un moteur de recherche, Bing, avait gardé en mémoire la date originale qui n'est pas la même que celle qui est montrée par un magazine et un faux youtuber. Voici ces vidéos et observez bien les dates du moteur de recherche par rapport à la date inscrite dans le magazine et le canal Youtube : video 1, video 2.

- Le réseau de personnalités qui font du mimétisme ne se constituent pas que de vedettes. Par exemple, cette femme ici imite ma situation, mais en ramenant tout aux électrosensibles.

Cet article avait été publié peu de temps après que j'aie ajouté sur mon site une vidéo et une section dans lesquelles j'expliquais comment je me protège avec le papier d'aluminium. Vous pouvez voir ici que j'avais ajouté une vidéo concernant la protection avec le papier d'aluminium, ainsi qu'une section à ce sujet que vous pouvez voir ici. Cette vidéo et cette section ont été ajoutées les 31 juillet 2016 et 1er août 2016 et l'article est paru le 15 août 2016.

Il y en a dans les médias qui parlaient de moi comme étant quelqu'un qui aurait subitement été frappé par la foudre, probablement en faisant référence à Saint Paul sur le chemin de Damas, ce qui est malhonnête de leur part et constitue une déformation concernant mon parcours.

Il y avait plusieurs similarités entre mon cas et ce qui est écrit dans l'article. Ça faisait 10 ans à l'époque que j'étais ciblé et ils présentaient cette femme comme ayant été frappée par la foudre il y a 10 ans. Elle avait développé une sensibilité aux champs électromagnétiques et devait se protéger avec du papier d'aluminium, comme je dois le faire à cause de la surveillance par ondes électromagnétiques. Finalement, dans les statistiques au bas de l'article, il est écrit que l'âge moyen pour être frappé par la foudre se situe entre 35 et 45 ans, ce qui correspondait à l'époque exactement à la période de ma vie à laquelle je me suis rendu compte que j'étais surveillé. Cette femme imitait donc mon cas, mais en déformant toute l'affaire afin de camoufler le phénomène des individus ciblés.

- Dans le monde des individus ciblés, il y a Béatrice El Beze qui publie des poèmes, même un recueil, parce que j'ai dit que j'avais écrit quelques poèmes dont on s'était servi pour écrire des textes de chansons. Je sais personnellement que le cas de cette femme n'est pas réel. Elle fait partie de tous ces faux individus ciblés qui ont été crées dans le monde francophone pour noyer mon cas.

- Il y a aussi Katherine Horton du côté anglophone qui m'imite. Je sais que Katherine Horton est une agente parce qu'elle répète toutes sortes de choses que j'ai dites en privé qu'elle ne peut connaître que si on lui a donné des informations à mon sujet. Elle travaille pour le système de communication des classes dirigeantes au niveau des médias « alternatifs » et des chaînes de vidéos. Ils placent ces agents parmi les vraies cibles et je ne crois pas qu'elle agisse complètement seule. Ils aiment présenter les agents comme s'ils étaient seuls comme les vraies cibles. (après que j'aie écrit ces lignes sur mon site anglophone elle a été présentée comme faisant parti d'un groupe, comme vous pouvez le voir ici.)

Sa première vidéo constitue une preuve qu'elle répète à partir de mon site. Au début de la vidéo (ici), vous pouvez voir qu'elle fait le perroquet par rapport à ce que j'ai dit dans l'introduction de mon témoignage. J'avais écris « Mon témoignage est divisé en sections auxquelles vous pouvez accéder en utilisant les liens ci-dessous. Vous pouvez donc lire le texte dans son intégralité, ou ne lire que les sections qui vous intéressent. »

Elle a aussi produite sa vidéo devant un arrière-plan en papier d'aluminium, ce qui est une autre chose qu'elle imite. Comme vous pouvez le voir ici, j'avais produite une vidéo ou je montrais ma chambre Faraday en papier d'aluminium. Vous pouvez aussi regarder le document Internet Archive First Account montrant que cette vidéo se trouvait dans l'Internet Archive depuis le 31 juillet 2016, dans un autre compte que j'avais eu au préalable. Vous pouvez aussi regarder cette page ici et constater que je mentionnais cette vidéo Protection avec le papier d'aluminium depuis le 31 juillet 2016, comme je l'avais aussi dit au sujet de l'exemple précédent avec les électrosensibles. J'avais donc fait cette vidéo avant qu'elle ne produise la sienne devant un arrière-plan en papier d'aluminium. Les agents font toujours du mimétisme par rapport à la vraie cible. Chaque fois que je fais une vidéo, les agents font de l'imitation et ont toujours une préoccupation pour l'arrière-plan devant lequel je produis la vidéo. Avec ces agents, on se retrouve toujours dans le même type de dynamique mimétique. J'en ai aussi ce genre d'agents après moi au Québec, en France et aux États-Unis.



(Cette section a été ajoutée sur le site le 28 mars 2020, avec quelques modifications le 4 avril 2020. Ajouts le 18 juillet 2020 et quelques modifications le 7 septembre 2023.)





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Le dispositif

Dans l'essai La nouvelle raison du monde, les auteurs mentionnent l'existence d'un dispositif global. En tant qu'individu ciblé, j'ai ressentis et observé que les autorités se servaient de moi afin d'apporter des ajustements dans leur réseau, et ce, de façon global. J'avais deviné par intuition l'existence de ce dispositif et je l'avais décris quelque peu dans la section La dynamique des médias, des partis politiques et des intellectuels polémistes en rapport avec un système lié à l'intellectualisme dans les médias, c'est-à-dire l'existence d'un réseau d'intellectuels, de rhéteurs modernes, travaillant pour les tenant de l'ordre établie.

Les auteurs de l'essai La nouvelle raison du monde ont décrit la présence d'un dispositif global. Voici ce qu'ils en disent :

« Le fait essentiel est que le néolibéralisme est aujourd'hui devenu la rationalité dominante, ne laissant pas subsister » de la démocratie libérale qu'une enveloppe vide condamnée à se survivre sous la forme dégradée d'une rhétorique alternativement « commémorative » ou « martiale ». En tant que telle, cette rationalité a pris corps dans un ensemble de dispositifs tant discursifs qu’institutionnels, politiques, juridiques, économiques, qui forme un réseau complexe et mouvant, susceptible de reprises et d'ajustements en fonction du surgissement d'effets non voulus, parfois contradictoires avec ce qui était initialement recherché. On peut en ce sens parler d'un dispositif global qui est, comme tout dispositif, de nature essentiellement « stratégique », pour reprendre à M. Foucault l'un de ses termes de prédilection. Ce qui veut dire que ce dispositif s'est constitué à partir d'une intervention concertée dans des rapports de force donnés, visant à les modifier dans une direction en fonction d'un « objectif stratégique ». (p. 464-465)

Il faut faire attention avec ce genre d'ouvrage intellectuel publié par les autorités, car ils font eux aussi parti, selon moi, du dispositif. C'est la raison pour laquelle les auteurs ne disent pas clairement de quoi il en retourne, dans le détail, en ce qui concerne la surveillance et le ciblage. Ils en parlent un peu par le biais de Foucault et du panoptique, comme c'est souvent le cas dans des ouvrages savants, mais ils ne mentionnent pas le phénomène des individus ciblés et tout ce qui est vécu par ces gens.

Ils font aussi référence aux idées de Marx, ce qui, selon moi, est un signe qu'ils adaptent leur rhétorique à celle des tenants des classe dirigeantes pour lesquelles ce philosophe travaillait. Ce n'est pas pour rien que Marx a écrit Le Capital à Londres. Il était aussi journaliste et ce que les journalistes font, c'est d'épier la population et de faire le perroquet en développant diverses rhétoriques qui neutralisent les cibles et les noient dans un collectivisme où tous leurs projets deviennent déformés s'ils ne sont pas complètement décomposés.

Je voulais quand même mentionner cette citation au sujet de la présence d'un dispositif, car c'est vrai qu'il y en a un et nous pouvons le ressentir.

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Dardot, Pierre et Laval, Christian, La nouvelle raison du monde : essai sur la société néolibérale, Paris : La Découverte, 2009.




Les figures idéologiques

Je parle ici de ce sujet parce qu'il s'agit réellement d'une façon de faire qui est utilisée contre moi depuis que je suis ciblé. Quand ces incidents se produisent, j'appelle mentalement les gens qui y prennent part des figures idéologiques. Je n'attaque aucunement ces groupes d'individus. Je ne traiterai ici que de ce que j'ai vu dans ma situation d'individu ciblé.

Depuis le début de toute cette histoire, des gens déambulent dans les médias et autour de moi en reprenant mes points de vue et en imitant des caractéristiques de ma personnalité. Ces gens sont très souvent des individus typés. C'est ce que j'appelle des figures idéologiques. Ces figures sont des délinquants, des femmes, des grosses femmes, des femmes typées d'apparence prolétaire, des individus arborant des tatouages, des gens de race noir, des hispaniques, des homosexuels et des lesbiennes, des autochtones, des jeunes, des islamiques, bref, tout ce que l'on pourrait opposer à la figure de l'homme blanc occidental et à sa culture historique. Ça peut aussi être une combinaison de ces différentes figures, par exemple un noir homosexuel ou un jeune délinquant bisexuel, une lesbienne délinquante cumulant les tatouages, une grosse femme au cheveux colorées, etc. Tout ça cadre dans le système des minorités et de leur victimisation, car au-delà de la situation réelle de ces gens, leur victimisation est bel et bien une façon de faire qui est utilisée par les « élites » pour faire avancer leur programme, ce que j'ai pu observer.

Cela se produit lorsque j'exprime des points de vue, la plupart du temps en privé, ou que je porte plainte concernant la situation de surveillance dans laquelle je me suis retrouvée.

Une fois, j'ai envoyé une lettre à des partis politiques pour dénoncer la surveillance dont je suis l'objet depuis mon contact avec les médias. Les partis auxquels j'ai envoyé cette lettre semblaient être au courant de ma situation, puisqu'ils ne cessaient de faire référence à moi dans les médias. Ce qui s'est produit, c'est qu'ils ont créé une commission n'ayant à peu près rien à voir avec le contenu de ma lettre. Ils ont tout ramené à un dossier précis, en évitant de parler de ce qui se passe réellement, et tout au long de la commission, j'ai été ciblé et imité d'une façon déformée par toutes sortes d'individus déambulant dans les médias les uns après les autres. De plus, le crédit concernant la création de cette commission bidon a été donnée à une grosse femme. Cette femme a été sélectionnée pour jouer un rôle dans la pièce de théâtre, et ce, spécifiquement parce qu'elle est grosse. Ils ont fait ça parce qu'ils ont espionné le contenu de mes conversations privées, alors que j'avais dit à une femme que je n'avais aucun intérêt sexuel pour les grosses femmes, point à la ligne. Cette femme s'entêtait à essayer de me faire changer d'avis. Depuis que je suis ciblé, je l'ai souvent été par des associations de personnes obèses, qui sont très certainement créées de toutes pièces par les autorités dans le but de harceler et de niaiser avec le débat publique. Sur le plan local, il y a aussi un homme obèse et excessivement louche qui est apparu dans le débat publique. À l'international, une chanteuse pop qui me cible depuis 2005-2006 a aussi fait par exprès pour prendre du poids. La publicité sur Internet faisant la promotion de sa nouvelle chanson disait « Ça va être gros ». Dans le cas de cette chanteuse, il s'agissait d'une combinaison de figures idéologiques prisées par les « élites »: race de couleur, femme, lesbienne jouant la délinquante et cumulant les tatouages, en plus de prendre du poids intentionnellement, ce qui visait à lui faire jouer le rôle de la victime et à me faire mal paraître en m'accusant de dénigrer les femmes, alors qu'à l'époque, elle cherchait à attirer mon attention et je m'étais intéressé à elle même si elle n'avait pas un corps parfait. Elle semblait être aimable et j'ai été piégé. De toutes façons, je suis quelqu'un qui n'insulte jamais les femmes au sujet de leur corps. J'ai cependant mes préférences personnelles que je garde pour moi.

L'utilisation de la grosse femme était un exemple. Il y a aussi eu l'utilisation de la femme hispanique de type pin-up, comme celle que l'on voit dans les publicités et sur la couverture des magazines. On pourrait aussi parler du stéréotype de la femme de gym. J'ai fréquenté le gym pendant une période de temps, peut-être en partie sous l'effet de tactiques de mind control qui ont été utilisées contre moi par le biais des médias. Par exemple, ils dénigraient mon physique parce que je suis mince et que je ne suis pas bâti comme un homme qui fréquente régulièrement les gyms. Ces gens ne veulent pas que j'utilise mon temps pour m'intéresser à la culture savante, pour peindre, pour dessiner, pour jouer de la guitare, pour lire et réfléchir à ce qui se passe socialement. Ils veulent plutôt me caser dans le système, que j'aille au gym et que je parle à n'importe qui. Toute sorte de choses bizarres se sont produites dans les gyms : imitation de mon comportement, individus autour de moi qui savent quelle musique j'écoute dans mes écouteurs, et toute sorte de femmes qui venaient déambuler. Il y en a même une qui a simulé l'acte sexuel devant moi. Une autre était une jeune femme étrange qui avait aussi été placée dans mon milieu de travail et qui était un sosie presque identique d'une chanteuse pop, mais en version plus quétaine. Quant à cette hispanique dont je voulais parler en tant que figure idéologique, elle semblait avoir une préoccupation pour moi. Les médias parlaient d'elle et publiaient des photos représentant une personne lui ressemblant qui imitait des choses qu'elle faisait autour de moi. Elle était représentée en couple avec une personnalité sportive qui me ciblait. Cette fille avait un comportement semblable à ce que l'on voit à la télévision dans les pubs. Elle est une figure idéologique. « Voici le prototype, voici l'exemple, ajustez-vous », et puisqu'elle est hispanique c'est encore mieux.

La femme en tant que telle est de toute façon une figure qui est utilisée contre moi. Lorsque je dis quelque chose, c'est souvent repris par une femme dans les médias, bien entendu en déformant mes propos et en les alignant avec l'idéologie dominante. Par exemple, si je parle contre la mixité, cette critique est reprise par une mise en scène du mouvement féministe qui réclament des groupes non mixtes afin de pouvoir s'épanouir à l'abri des hommes. Ça m'est aussi arrivé à l'université alors qu'une femme dont j'avais critiqué le comportement dans mes conversations privées a modifié son comportement en imitant le mien et en se faisant donner de l'avancement. Elle fréquentait une autre figure idéologique, un homosexuel étrange qui faisait aussi de l'imitation et qui ne cessait de me cibler indirectement.

Dans le débat public, cette figure idéologique est promue par la classe politique. Un exemple de ça est Marine Le Pen qui tasse son père, alors que les points de vu défendus par ce dernier sont très souvent véhiculés par des hommes. Ces derniers se retrouvent ainsi dans l'obligation de suivre une femme ou de se joindre à l'idéologie dominante des grands partis.

Une autre figure qui est utilisée pour me cibler est l'homosexuel. Lorsque je dénonce quelque chose, même si je ne le dis pas publiquement, ce que je dis peux être repris dans les médias par des homosexuels. Par exemple, ils ont fait ça quand j'ai parlé en privé de la violence dans les écoles. Avec un porte parole, ils ont tourné ça en enjeux homosexuel en disant que les jeunes homosexuels sont victimes de violence et d'intimidation dans les écoles, alors que, de toutes sortes de façons, la violence est courantes dans les écoles publiques, et non strictement envers les homosexuels.

Aussi, si je dis en privée une chose comme : « Moi, avec les femmes, je reste moi-même. Je ne change pas pour elle. », ils font apparaître une personnalité publique qui est un homosexuel et lui font dire quelque chose comme : « Ce qui est bien dans les relations homosexuelles, c'est que l'homme peut rester lui-même. »

Aussi, des personnalités publiques qui sont créées dans le but de me cibler font référence à la bisexualité, que ce soit des tueurs ou des vedettes pop.

En ce qui concerne les jeunes, ils sont utilisés dans le but de m'humilier et de m'écraser psychologiquement. Ils leur font jouer un rôle en reprenant mes idées et mes activités artistiques, mais en s'en servant pour aller de l'avant avec l'idéologie « progressiste » du système dominant. Chacune de mes activités sont pastichées par un jeune et ramenées au niveau du climat ambiant et de l'idéologie dominante, que ce soit le dessin, la peinture ou la guitare. Des jeunes prodiges apparaissent dans le but de créer chez moi un sentiment d'infériorité et d'essayer de me faire taire. Ils doivent aussi vouloir que je cesse mes activités artistiques afin de nuire à ma progression et de m'empêcher d'atteindre mes buts. Ils ne veulent pas que la cible ait du succès en dehors des balises de leur système idéologique dominant, car ça lui donnerait de la crédibilité pour faire avancer d'autres idées. Leur but est d'amener la crédibilité de la cible à zéro. Ce qu'ils veulent aussi, c'est d'empêcher l'homme dans la trentaine et dans la quarantaine, qui est arrivé a maturité et qui est plus expérimenté, d'aller de l'avant avec ses projets et de s'en prendre au système dominant. (Je ne parle pas ici de leur conception de la maturité qui consiste à s'adapter à l'intérieur de leurs balises « progressistes ».) Ils aiment bien prendre des jeunes influençables et les piéger dans des faux mouvements pour nuire à l'homme plus vieux qui veux aller de l'avant avec ses idées, pendant que ses adversaires corrompus dans la trentaine, la quarantaine, la cinquantaine, et souvent beaucoup plus vieux, sont au pouvoir et jouent le jeu du système dominant en allant de l'avant avec la ligne de pensée des « élites ». Utiliser les jeunes donnent aussi une apparence de justice sociale. Parler de justice sociale est une autre de leur méthode. Bien entendu, ils n'expliquent jamais ce qui se passe réellement.

Les noirs sont utilisés contre moi depuis le début. Par exemple, puisqu'à l'université je défendais le classicisme et que je ne choisissais pas en priorité les méthodes de recherche et d'analyse développées par des tenants de la contre-culture de '68 à tendance marxiste culturel et que certaines personnes m'attaquaient à ce sujet, des noirs ont éventuellement été promus dans le milieu du classicisme et publicisés dans les médias. Ce n'est pas une dynamique naturelle. Tout est organisé de manière idéologique et programmé afin de cibler des individus publiquement. Ces noirs sont des figures idéologiques socialistes libérales fascistes imposées au publique dans le but d'attaquer une culture, celle des blancs occidentaux, et d'empêcher ces individus de s'épanouir à l'intérieur de leur propre société et de leur propre culture.

Ils cherchent aussi à m'attirer vers le rap et le hip hop, ou à présenter ces figures comme étant les représentants de la prise de position politique en art. La figure idéologique par excellence dans cet univers est la femme de couleur, lesbienne ou bisexuelle, arborant les tatouages et jouant la délinquante. Elle est amenée à se victimiser par le biais de mises en scène afin de chercher à influencer l'opinion publique. Elle est actuellement une des figures mainstream privilégiées et favorisées par les « élites ».

Les médias des gens de races noirs me ciblent aussi. Je constate en les écoutants qu'ils sont tout aussi contrôlés que les autres et qu'ils le sont visiblement par la même source. Ils sont du même type que ceux qui sont infiltrés par ce que l'on a déjà appelé l'Opération Mockingbird.

Les délinquants sont utilisés contre moi partout. Les gens qui sont en position de contrôle dans le tissu sociale (politiciens, journalistes, enseignants, employeurs, etc.) sont souvent, à divers degrés et peu importe leur apparence, des délinquants, des individus qui ont des tendances délinquantes cachées, ou qui sont complaisants envers les divers degrés de délinquance. Ils favorisent la délinquance et l'utilisent contre les hommes droits. La figure typé du délinquant est souvent aussi utilisée contre moi dans les milieux de travail et dans les médias. Cette figure est utilisée afin que les gens développent un sentiment d'infériorité, laissent tomber leur droiture, cessent d'émettre leurs idées et adhèrent au climat idéologique ambiant. Il y a aussi toute la dynamique de l'imitation qui entre en ligne de compte, car ceux qui imitent le plus sont les plus délinquants. C'est souvent le pire individu dans un groupe qui se met à faire de l'imitation. C'est comme s'ils imitaient la cible pour voler ses affaires, chercher à nuire et prendre les devants par la facilité, tout en déformant ce qu'il prennent de la cible afin de tout ramener au niveau de la culture criminelle qui est présentement en place. Ils semblent aussi vouloir éviter de se faire exclure du groupe, comme s'ils avaient peur que la droiture prennent le pouvoir et qu'ils se retrouvent peinturé dans le coin. Ils préfèrent participer à un système de pression par lequel ils attaquent et cherchent à piéger ceux qui recherchent la droiture afin de les ramener vers le délinquant et de faire du chantage quand la personne n'obtempère pas. Le tissu social est présentement constamment attaqué de cette façon par des forces occultes.

Depuis que je suis ciblé, j'ai aussi été indirectement traité de terroriste et comparé à un musulman. Ils font ça à cause de mon comportement social, car je deviens marginalisé à cause de ma spiritualité et de mes idées, et parce que je n'aime pas le climat social. Ils me comparent donc à un intégriste, mais aussi à une femme, peut-être à cause de mon attitude face à la sexualité ou pour d'autres raisons, comme ma nutrition.

Toute cette histoire concernant les musulmans que nous voyons dans les médias est en rapport avec des individus ciblés. Dans le cadre du ciblage de ma personne, une opération concernant le radicalisme des musulmans a été créée dans un collège que j'ai fréquenté. Ils ont choisi ce collège justement parce que je l'ai fréquenté. Ce n'est pas une coïncidence et les médias en parlent en me ciblant. Il y a aussi des gens qui étaient dans mon entourage quand je fréquentais ce collège qui sont utilisés contre moi par le biais des médias et de l'Internet, mais aussi en personne, autour de moi. Il peut aussi s'agir de gens qui sont sélectionnés parce qu'ils leur ressemblent, mais je crois que c'était vraiment eux.

Les musulmans sont souvent utilisés par la gauche socialiste libérale fasciste. Dernièrement, ils étaient présents dans ce que je considère comme étant des fausses manifestations communistes qui ont été créées aux États-Unis peu de temps après que j'aie mentionné la possibilité d'un complot communiste dans le domaine de la culture, avec l'art contemporain et l'art actuel. À la radio locale, on entendait aussi des manifestants crier : « On veut le communisme! ». Il s'agit de mises en scènes qui permettent aux autorités d'aller de l'avant avec leur idéologie socialiste libérale fasciste et technocrate, et ce, à l'échelle internationale. Ils utilisent des points de vue extrêmes afin de casser les mentalités et d'imposer leur conception des valeurs égalitaires.

La vieille culture blanche occidentale est attaquée, comme probablement toutes les cultures traditionnelles de la planète. Ils cherchent à égaliser tout le monde, mais de façon culturellement négative. Ils veulent emprisonner les cultures dans le système de la communication, des médias, des technologies et des nouvelles démocraties. Il est mal vu pour un pays de faire dominer sa propre culture, ses origines ainsi que sa descendance. On doit faire preuve de discrimination « positive ». Un écrivain haïtien ayant vécu au Québec peut entrer à l'Académie française avant un blanc francophone né au Québec, car le canadien-français est trop occidental et trop proche du blanc français. Il faut donc l'humilier et le casser psychologiquement en faisant passer un noir en avant de lui, une figure idéologique qui n'était là que pour attaquer sa culture d'accueil. Si c'était un Québécois qui était choisi, ce serait probablement un promoteur du joual, un insignifiant socialiste libéral fasciste, une autre figure idéologique. S'il y en a qui méritent réellement de faire leur entrée à l'Académie, ils sont probablement inconnus du grand public.

Parmi les chanteuses pop sexy, j'en ai vu une qui me cible qui portait le voile dans une vidéo, mais de façon plus trendy que les femmes musulmanes. Ils cherchent à hameçonner ces gens afin de modifier leur psychologie. Je crois personnellement qu'ils attaquent tout le monde en faisant ça. Ils utilisent des tactiques psychologiques contre les musulmans et leur culture traditionnelle, afin de les forcer à ressembler à la culture internationale qu'ils instaurent présentement. Ils utilisent la sexualité dans le but de piéger, de manipuler et de créer des conflits de génération afin de tuer les traditions culturelles. Le monde occidental se retrouve quand à lui déjà sous le joug de cette doctrine alors que toutes sortes de tactiques sont employés afin que les gens développent un éternel sentiment de culpabilité et qu'ils gardent le silence à propos de toutes les attaques et les manipulations utilisées pour déconstruire leur propre culture.

Les modes de pensées qui ne sont pas en accord avec la doctrine socialiste (néo)libérale fasciste sont attaquées de cette façon, et ce ne sont pas seulement les religions qui le sont. Ces gens n'aiment pas ceux qui ne plient pas facilement face à leur contrôle mental. Une personne qui s'en tient à sa propre ligne de pensée sans suivre la masse programmée, par exemple en adhérant à certaines croyances ésotériques, pourra aussi être attaquée. Ces gens ont horreur des croyances religieuses et spirituelles qui demandent une discipline comportementale qui n'est pas au diapason avec leur idéologie. Je le sais, parce que je vis cette situation. Le mot d'ordre des autorités est d'adhérer au climat ambiant qui est créé et maintenu par le contrôle mental, notamment par le biais des médias et de l'industrie du divertissement, mais aussi avec d'autres tactiques. La surveillance permet de garder à l'œil les dissidents.

Les artistes et les chercheurs peuvent aussi être attaqué pour leur intégrité. Une recherche trop occidentale, trop aristocrate, trop bourgeoise, pas assez socialisante, pas assez rouge, pas assez prolétaire, peut être attaquée, même s'il ne s'agit que d'une recherche. Elle doit être cassée, et ce, de diverses façons. Par exemple, en l'enlevant à celui qui veut la faire et en la donnant à une figure idéologique. C'est fait indirectement, sans parler à la cible. Les sujets de recherche sont choisis par le biais de l'espionnage. La cible est siphonnée et se retrouve entourée de gens qui se mettent à parler de ses préoccupations, mais en manipulant idéologiquement les sujets pour les aligner avec l'idéologie « progressiste » dominante. Par exemple, le sujet peut être confié à une femme (c'est encore mieux si elle est une étrangère), une grosse femme, un homosexuel, ou un individu ressemblant à la cible, mais à une autre époque de sa vie, avec un sujet qui est en rapport avec lui d'une certaine façon, mais qui ne correspond pas tout à fait à ses préoccupations réelles.

Une autre façon, c'est en abordant les cultures d'autrefois par le biais d'une question concernant ce que l'on appelle aujourd'hui les minorités. Si quelqu'un s'intéresse au classicisme et à la Renaissance (tout de suite en partant, c'est mieux de ne pas faire ça, il vaut mieux s'intéresser au monde contemporain, car c'est plus socialisant et plus proche du totalitarisme actuel), on l'incitera plutôt à s'intéresser à Artemisia Gentileschi ou à Caravage, car ça permet de déconstruire le monde occidental et de mettre indirectement la recherche en rapport avec la doctrine du monde d'aujourd'hui.

Les gens qui sont au pouvoir présentement sont incapables de donner l'accès à toutes les classes sociales à la culture de toutes les époques et de tous les systèmes politiques sans s'adonner à un jeu idiot de manipulation idéologique. Cette situation est récurrente et je l'ai vécue personnellement. C'est fait de façon sophistiquée, de toutes sortes de manière que je compte décrire éventuellement. Une personne qui se bat contre tout ça peut devenir ciblée.

Ces figures idéologiques dont je parle ici ne sont pas idéologiques en tant que telles. Elle le deviennent de par leur utilisation par les autorités. Un noir n'est pas une figure idéologique, il est un homme de race noir. Une femme n'est pas une figure idéologique, elle est une femme. C'est le système fascisant et son utilisation de ces figures qui les rendent idéologiques.

Depuis que j'ai parlé brièvement sur mon site de ce sujet en expliquant que je le développerais davantage, il y a eu quelques opérations dans les médias corrompus mettant de l'avant des cas qui vont dans le sens contraire de ce que je dis, alors que ça fait des années qu'ils me font ce que j'ai précédemment décrit. Par exemple, un noir s'est fait congédier parce qu'il inventait des nouvelles alors que ça fait des années que je suis témoins de nouvelles inventées qui sont présentées par des blancs. C'est juste pour twister les affaires, niaiser encore plus avec le débat publique et confondre les gens. C'est comme s'ils voulaient montrer qu'ils se débarrassent d'une figure idéologique, mais en le faisant de façon à maintenir une autre situation que je dénonce.

J'ai écrit ici concernant le point de vue de l'homme blanc occidental parce que je suis blanc, mais je crois que de telles tactiques sont utilisées contre d'autres cultures, par exemples en Inde, chez les asiatiques et chez les arabes. Je dis ça parce que j'ai été témoin d'opérations médiatiques concernant ces cultures. Toutes les cultures où il y a eu des grandes religions et des traditions spirituelles semblent présentement être attaquées de façon hypocrite et insidieuse par le pouvoir international.

Je n'attaque ou ne dénigre ici aucun genre, aucune race et aucune culture. Au contraire, je les respecte. J'attaque plutôt un système idéologique.

Lorsque j'utilise l'expression « socialiste libéral fasciste », ces termes sont à prendre au sens large et font référence à leurs manifestations diverses. Je désigne les mouvements modernes liés au développement de la social-démocratie, au néolibéralisme, à la forme d'autoritarisme utilisé par ces courants de pensée et à la surveillance malveillante et excessive.


(Ajouté au site Web le 24 juillet 2015, avec ajouts et modifications les 26 juillet 2015, 6 décembre 2015, 28 août 2016, 13 novembre 2016, 31 mars 2019 et 28 octobre 2020.)


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La dynamique des médias, des partis politiques et des intellectuels polémistes

Au cours des dernières années, j'ai remarqué qu'il y a un système qui est en place afin de neutraliser certaines idées provenant de la population civile et qui ne sont pas au diapason avec l'idéologie dominante.

Par exemple, il y a un journaliste (et plusieurs autres) qui imite mes points de vue depuis des années et qui s'aligne sur ce que je pense. Avant que je ne sois ciblé, il avait des points de vue opposés aux miens. Il a complètement changé quand je suis devenu ciblé, même ses lecteurs le lui ont dit. Ces derniers pensent que sa pensée n'a fait qu'évoluer, car il ne connaissent pas le phénomène des individus ciblés et du retour en miroir dans les médias. Avant que lui ne s'intéresse à moi, il y en a d'autres qui faisaient de même avec d'autres cibles. Il a probablement lui-même suivi d'autres cibles avant moi, des cibles qui avaient d'autres idées.

Les médias suivent des individus de cette façon et font des opérations ponctuelles selon leurs agissements, leurs paroles et leurs écrits. Ces opérations visent à neutraliser la cible et à revenir éventuellement à l'idéologie « progressiste » socialiste (néo)libérale fasciste habituelle. Au Québec, des exemples d'opérations « inversées », si nous pouvons les désigner ainsi, seraient l'opération concernant le mouvement Fathers 4 Justice et la montée de l'ADQ en 2007. Des idées inversées et inhabituelles sont mises de l'avant par les grands médias dans le but de les neutraliser et de maintenir le statu quo. Il y a toujours des cibles derrière ces grandes opérations et c'est toujours très controversé. Ce sont toujours les mêmes opérateurs principaux (animateurs, journalistes, chroniqueurs) qui sont assignés à ces opérations, mais l'ensemble des médias y participent, jusque dans l'underground, et c'est fait de façon internationale, de connivence avec d'autres pays. Je le sais par expérience personnel. Le gang stalking est aussi utilisé autour de la ou des cibles. Le but est de les neutraliser autant que leurs idées. Les gains réels sont minimes, voir inexistants. Les idées habituelles reviennent par la suite et les mêmes grands partis continuent à s'échanger le pouvoir. C'est la fonction des tiers partis d'agir comme des entités neutralisantes qui sont sous le contrôle des « élites », afin de bloquer le changement. Ces partis sont créés lorsqu'il y a une ébullition sociale concernant certaines idées, par exemple lorsque des activistes hors contrôle posent certains gestes. Des nouveaux partis et des nouveaux politiciens sont crées au besoin, à gauche ou à droite du pouvoir dominant, afin de remplir la même fonction. Si l'un de ces tiers parti accède au pouvoir, c'est parce que le plan des « élites » arrive à une nouvelle étape ou que quelque chose s'est produit dans le tissu social. Ce parti ne fera que de s'aligner sur les idées des « élites » en jouant de façon stratégique, de connivence avec les autres partis, pour donner l'impression qu'il y a un changement idéologique, alors que ce n'est que le même plan qui est suivi. Ces opérations sont créées au besoin, tout dépendant de ce que veulent faire les « élites » et de la façon dont les agissements de la foule et des individus doivent être neutralisés. Il ne s'agit que d'une nouvelle posture politique, qui est aussi accompagnée d'une réorganisation dans tous les types de médias.

Une dynamique semblable se produit aussi avec les intellectuels polémistes que nous voyons très souvent dans les médias alors qu'ils critiquent le statu quo et certains aspects du système dominant. Ces intellectuels sont médiatisés à grande échelle et tiennent des propos que l'on entend habituellement pas de la part des figures du courant dominant. Au Québec, il y a par exemple Mathieu Bock-Côté et Alain Denault. Si nous incluons aussi les journalistes, chroniqueurs et animateurs, nous pouvons aussi nommer Denise Bombardier, Marie-France Bazzo, Richard Martineau, Éric Duhaime et Stéphane Gendron. En France, il y a par exemple Alain Finkielkraut, Jacques Julliard, Michel Onfray et Michel Ouellebecq. À gauche comme à droite, plus progressistes ou plus conservateurs, ces individus donnent l'impression de ramer à contre courant et de tenir tête à la mentalité dominante.

En fait, ces individus font plutôt figure d'agents neutralisants qui ont été créés afin de contrer les idées qui émanent de la population civile. Ils travaillent pour les « élites » afin de créer un semblant de débat concernant certaines idées qui ne sont la plupart du temps pas véhiculées par les médias de masse et par les partis politiques dominants. Ces agents participent à des débats très controversés desquelles n'émane à peu près rien. Ce qu'ils font sert plutôt à faire ventiler la population, à brûler des idées et à faire comprendre, au bout de tout ça, qu'il n'y a rien à faire et que tout fonctionnera à l'intérieur des limites idéologiques du système dominant. Ces opérateurs lancent souvent quelque chose comme « Quand est-ce qu'il va y en avoir un qui va se lever! », comme s'ils en cherchaient un autre à démolir même s'il appuie les idées qu'ils avancent eux-même. C'est comme s'ils lançaient un appel afin de les identifier et de les neutraliser.

Les pires individus, les plus corrompus, sont ceux qui occupent plusieurs fonctions : enseignants, chroniqueurs et politiciens. Ce sont des agents de neutralisation au service de l'establishment socialiste, (néo)libérale, fasciste et technocrate. Les « élites » les construisent afin de donner à ces agents la notoriété sur laquelle repose la pseudo crédibilité dont ils ont besoin en tant qu'agents neutralisants agissant dans les grands débats publics. Ces « élites » peuvent ainsi préserver leurs privilèges et continuer à aller de l'avant avec leur grande supercherie en utilisant comme machine de contrôle idéologique un système qu'ils appellent la démocratie.


(Ajouté au site Web le 6 décembre 2015, avec des modifications le 12 février 2016 et le 31 mars 2019. Une partie de ce texte était sur le site depuis le 24 juillet 2015.)


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Ce que je connais de la franc-maçonnerie

Je parlerai dans cette section de ce que j'ai pu observer de la part de la franc-maçonnerie.


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